>>Virus : le président sud-africain annonce un renforcement des restrictions
>>France : la vaccination pour tous sur la ligne de départ
>>Cuba signale 1.188 nouveaux cas de COVID-19 en une journée
Au moins 5.000 spectateurs ont dansé sur les tubes du groupe français Indochine, avec masque mais serrés dans l'arène parisienne de Bercy, le 29 mai, lors d'un concert doublé d'une étude scientifique très attendu par un secteur durement éprouvé par le COVID-19. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
La vaccination pour tous va démarrer en France
Fini les critères d'âge ou d'état de santé : à partir de lundi 31 mai, toute la population majeure de France sera éligible à la vaccination contre le COVID-19, étape cruciale pour éviter un rebond de l'épidémie alors que les restrictions s'allègent peu à peu. Les 18-49 ans étaient officiellement la dernière catégorie à pouvoir intégrer sans conditions la campagne de vaccination, qui s'est élargie par paliers depuis son démarrage fin décembre.
Boris Johnson pour un accord au G7 sur les passeports vaccinaux
Le Premier ministre britannique Boris Johnson a souhaité que le prochain sommet du G7 parvienne à un accord sur les passeports vaccinaux et lance des discussions sur un "traité mondial" pour faire face aux pandémies.
L'Italie prolonge l'interdiction d'entrée pour l'Inde, le Bangladesh et le Sri Lanka
L'Italie a prolongé dimanche 30 mai jusqu'au 21 juin, l'interdiction d'entrée sur son territoire pour les personnes en provenance d'Inde, du Bangladesh et du Sri Lanka à titre de précaution contre le variant indien du COVID-19, plus facilement transmissible.
44 décès dimanche 30 mai en Italie, le chiffre le plus bas depuis mi-octobre
L'Italie a enregistré dimanche 30 mai 44 décès dus au COVID-19, soit le plus faible bilan quotidien depuis plus de sept mois, le pays continuant de progresser dans sa campagne de vaccination. Le précédent bilan le plus faible en une seule journée remonte au 14 octobre en Italie avec 43 morts.
Alger assouplit les conditions de retour face à la colère de la diaspora
L'Algérie a légèrement assoupli les conditions d'entrée sur son sol de ses ressortissants bloqués à l'étranger en raison de l'épidémie de COVID-19, en réduisant les frais de confinement obligatoire, a indiqué dimanche un communiqué du Conseil des ministres.
Manifestation à Sao Paulo contre la gestion de l'épidémie de coronavirus par le président brésilien Jair Bolsonaro, le 29 mai. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
Maduro compte recevoir en juin plus de 5 millions de vaccins
Le président du Venezuela, Nicolas Maduro, a déclaré dimanche s'attendre à recevoir en juin plus de cinq millions de doses de vaccins contre le COVID-19 via le système Covax, alors que son pays est confronté à une deuxième vague virulente de la pandémie.
Boom des achats de villas de luxe à Dubaï, refuge pour échapper aux confinements
Après six ans de déclin, le marché immobilier de Dubaï reprend du poil de la bête à la faveur d'une ruée de riches étrangers vers cet émirat du Golfe devenu une échappatoire aux confinements et autres restrictions sanitaires, revitalisant ainsi une économie convalescente.
Renforcement des restrictions en Afrique du Sud
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a annoncé dimanche soir 30 mai un retour à des mesures plus strictes contre le COVID-19 alors que le pays est sous la menace imminente d'une troisième vague de la pandémie. Quatre des neuf provinces du pays, dont celle de Gauteng, qui englobe Johannesburg ainsi que la capitale Pretoria, sont déjà touchées par une 3e vague, a affirmé le chef de l'État dans une allocution télévisée.
Plus de 3,52 millions de morts
La pandémie du nouveau coronavirus a fait au moins 3.535.376 morts dans le monde depuis que le bureau de l'OMS en Chine a fait état de l'apparition de la maladie fin décembre 2019, selon un bilan établi par l'AFP à partir de sources officielles dimanche 30 mai à 10h00 GMT. Après les États-Unis (594.430), les pays comptant le plus grand nombre de morts sont le Brésil (461.931), l'Inde (322.512), le Mexique (223.072) et le Royaume-Uni (127.768).
Ces chiffres, qui reposent sur les bilans quotidiens des autorités nationales de santé, sont globalement sous-évalués. Ils excluent les révisions à la hausse réalisées a posteriori par certains organismes statistiques. En prenant en compte la surmortalité directement et indirectement liée au COVID-19, l'OMS estime que le bilan réel est "deux à trois fois plus élevé".
AFP/VNA/CVN