>>Coronavirus : le point sur la pandémie dans le monde
Des automobilistes se font tester contre le COVID à Zagreb, en Croatie, le 21 janvier. |
Le variant Omicron désormais dominant en Europe
Omicron est désormais le variant du COVID-19 dominant dans l'Union européenne (UE) et dans l'Espace économique européen (EEE), a annoncé l'agence de santé européenne vendredi 21 janvier.
"Le type de transmission d'Omicron dans l'UE/EEE est passé de communautaire à dominante", a indiqué le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC), basé à Stockholm.
L'EEE inclut les 27 pays membres de l'UE, ainsi que l'Islande, le Liechtenstein et la Norvège.
France : le pass vaccinal validé
Le Conseil constitutionnel français a validé la plupart des dispositions d'un projet de loi controversé instaurant le pass vaccinal au nom de l'objectif de "protection de la santé" face à l'épidémie de COVID-19.
Dès lundi 17 janvier, il faudra pouvoir justifier pour les plus de 16 ans d'un statut vaccinal pour accéder aux activités de loisirs, restaurants et bars, foires ou transports publics interrégionaux. Un test négatif ne suffira plus, sauf pour accéder aux établissements et services de santé.
La Belgique se dote d'un "baromètre corona"
La Belgique s'est dotée vendredi 21 janvier d'un nouvel outil, baptisé "baromètre corona", qui permettra de faire évoluer les mesures anti-COVID pour la culture et les cafés-restaurants en fonction de la pression plus ou moins forte de la pandémie sur le système hospitalier.
Ce "baromètre", auquel est associé un code couleurs, entrera en vigueur le 28 janvier.
Plus de 5,57 millions de morts
La pandémie de COVID-19 a fait au moins 5,57 millions de morts dans le monde depuis fin décembre 2019, selon un bilan établi par l'AFP à partir de sources officielles vendredi 21 janvier en milieu de journée.
En valeur absolue, les pays qui ont enregistré le plus de morts sont les États-Unis (864.489), le Brésil (622.563), l'Inde (488.396) et la Russie (324.752).
L'Organisation mondiale de la santé estime, en prenant en compte la surmortalité directement et indirectement liée au COVID-19, que le bilan de la pandémie pourrait être deux à trois fois plus élevé que celui officiellement recensé.
AFP/VNA/CVN