>>Vers l’interdiction de circulation des bus couchettes en montagne
L’événement a été co-organisé par le Comité de gestion de l'investissement dans la construction d'ouvrages de transport et d’urbanisme de Hô Chi Minh-Ville (UCCI) et la Banque mondiale.
Maquette du terminus de bus de Rach Chiêc. |
Hô Chi Minh-Ville étude la construction de six lignes de "bus rapid transit" (BRT). Parmi celles-ci, la N°1 qui va de l'avenue Vo Van Kiêt à la rue Mai Chi Tho, de 23,5km, sera créée en premier lieu. Représentant un investissement de 3.248 milliards de dôngs, cette BRT N°1 permettra de relier l’Est et l’Ouest de la ville.
Actuellement, la phase d’études de faisabilité est achevée et en attente de l’approbation de la Banque mondiale. Pour une mise en service vers 2018, il y a encore beaucoup de choses à faire : traitement de l’environnement, libération du foncier, élaboration du projet en détail, exécution des travaux et gestion, tests et mise en fonctionnement, d’après le chef de l’UCCI, Luong Minh Phuc.
Une fois ouverte en 2018, le BRT pourra transporter 31.600 personnes par jour, et deux ans plus tard, 86.250. Le bus rapide transit utilisera du gaz naturel comprimé comme carburant, qui est respectueux de l’environnement.
À côté des points forts de ce futur moyen de transport, la BRT demande un niveau de gestion, de fonctionnement et d’exploitation plus élevé que les lignes ordinaires de bus. D’autre part, le système de BRT réduira la superficie disponible pour les véhicules individuels, ainsi que la vitesse de leur circulation.
VNA/CVN