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| Une réplique du squelette du roi Richard III, créée grâce à la technologie d'impression 3D, exhibée à Leicester, au centre de l'Angleterre, le 24 juillet. |
| Une réplique du squelette du roi Richard III, créée grâce à la technologie d'impression 3D, exhibée à Leicester, au centre de l'Angleterre, le 24 juillet. |
Le groupe a annoncé lundi 28 juillet qu'il allait commencer à vendre des bijoux, jouets et autres accessoires personnalisables fabriqués grâce à cette technique.
Une page dédiée sur son site américain (www.amazon.com/3DP) permet d'acheter par exemple des boucles d'oreilles, des pendentifs ou des boutons de manchette, des figurines ou encore des étuis pour smartphone.
Amazon dit avoir pour l'instant un catalogue de plus de 200 objets imprimables à la demande, avec pour beaucoup la possibilité de choisir le matériau utilisé, la taille ou encore la couleur.
"Une fois qu'un produit est personnalisé et que le consommateur a terminé la procédure de paiement, l'objet est imprimé en 3D à la demande par un fabricant et envoyé directement au consommateur", explique Amazon dans son communiqué.
Parmi les fabricants partenaires d'Amazon figure la startup française Sculpteo.
L'impression 3D existe depuis environ 25 ans, mais a gagné en popularité avec l'amélioration de sa technologie et une baisse de son coût à un niveau accessible aux bricoleurs, artistes et entrepreneurs, ce qui suscite beaucoup d'espoirs de croissance.
Les imprimantes permettent de fabriquer des figurines, des pièces d'échecs, des poignées, mais aussi des pièces industrielles comme des roulements à bille ou médicales comme des prothèses.
AFP/VNA/CVN