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Toyota N°7 Hypercar pilotée par le Japonais Kamui Kobayashi a décroché l'Hyperpole des 24 Heures du Mans, le 19 août. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
Sa voiture soeur et autre favorite dans la nouvelle catégorie reine des Hypercars, la Toyota N°8, l'accompagnera en première ligne, devant l'Alpine N°36 et la Glickenhaus N°708 en deuxième ligne.
La troisième ligne revient à la cinquième et dernière Hypercar, la Glickenhaus N°709, et à la première LMP2, l'Oreca N°38.
Au crépuscule, Kobayashi, déjà poleman à trois reprises au Mans en 2017, 2019 et 2020, a affolé les chronos en 3 min 23 sec 900/1000 au volant de la N°7, pour devancer le Néo-Zélandais Brendon Hartley, qui pilotait la N°8, de 295/1000.
Pour mesurer le cap passé par les Toyota lors de cette deuxième partie des qualifications (baptisée Hyperpole et qui détermine les trois premières lignes dans les quatre catégories), il faut se rappeler que le meilleur temps jusque-là était de 3 min 26 sec 279/1000, déjà la propriété du Japonais.
Et avant l'épreuve, les temps au tour sur le circuit des 24 Heures du Mans étaient estimés à 3 min 30 sec pour les nouvelles Hypercars !
Pilotée par le Français Nicolas Lapierre, l'Alpine N°36 (qui n'est pas une Hypercar mais une ancienne LMP1 adaptée) est pointée à 1 sec 674/1000, et les Glickenhaus N.708 et N.709 de ses compatriotes Olivier Pla et Romain Dumas à 1 sec 739/1000 et 3 sec 031/1000 respectivement.
La première LMP2, elle, termine à 4 sec 050/1000 de la pole aux mains du Portugais Antonio Félix Da Costa.
La meilleure LMGTE Pro est la Porsche privée N°72, qui bat les équipages d'usine de Porsche, Ferrari et Corvette grâce au Belge Dries Vanthoor.
La LMGTE Am la plus véloce est aussi une Porsche, la N°88 du Français Julien Andlauer.
Une dernière séance d'essais libres nocturnes de deux heures a débuté à 22h10 (20h10 GMT).
AFP/VNA/CVN