Au Vietnam, il n’existe pas de modèles de traitement de la pollution par les métaux lourds répondant aux critères techniques, environnementaux et sociaux. |
Cet évènement, réunissant une centaine de spécialistes et gestionnaires des pays d’Asie du Sud-Est, a présenté l’utilisation des modèles de BLM, préconisés par le Programme de l’environnement des Nations unies. A été discuté la mise en œuvre du système d’évaluation du niveau de pollution de pays d’Asie et particulièrement celui du Vietnam, a indiqué le vice-ministre vietnamien Bùi Cach Tuyên.
Lors de ce séminaire, des experts ont abordé les scénarios d'utilisation des ligands biotiques dans la mesure de la pollution par les métaux lourds comme cuivre, zinc, nickel en Asie, l’élaboration et l’application des normes européennes sur l’eau.
Actuellement au Vietnam, il n’existe pas de modèles de traitement de la pollution par les métaux lourds répondant aux critères techniques, environnementaux et sociaux. Les eaux usées et déchets sont traités par des méthodes chimiques en transformant des polluants en agents moins toxiques sans élimination totale de leurs impacts.
Le ministère vietnamien de l’Agriculture et du Développement rural a récemment présenté un projet de normes de qualité de l’environnement, selon lesquels les teneurs en cuivre, zinc et nickel sont limitées respectivement à moins de 10, 20 et 10 milligramme (mg) par kilogramme de légumes, et à moins de 100 mg, 500 mg et 100 mg/kg de terre.
AVI/CVN