Ancien étudiant de la section littérature et langue de l'Université nationale de Hanoi et attaché à la culture et à l'homme vietnamiens pendant les années de guerre, Sonomish Dashtsevel a trouvé non seulement l'amour avec une fille vietnamienne (toujours d'actualité), mais aussi une passion pour les œuvres poétiques du Président Hô Chi Minh.
"En lisant le +Carnet de prison+, il m'a semblé avoir pris contact avec l'Oncle Hô. Ses œuvres témoignent d'un caractère ferme et d'un amour profond pour la Patrie et le peuple", a confié Sonomish Dashtsevel.
Outre la traduction du Carnet de prison en mongol, Sonomish Dashtsevel a profondément étudié cette œuvre à travers les autres versions en russe, anglais et français, dans le but de saisir la philosophie du Président Hô Chi Minh.
Sonomish Dashtsevel est fier de la traduction qu'il a réalisée pour le Carnet de prison. En effet, le sens de chaque phrase et de chaque mot de l'œuvre a été respecté à la lettre.
Âgé de 67 ans, Sonomish Dashtsevel fréquente toujours le Vietnam. Lors de ses visites dans le pays ancestral de sa femme, il se lance souvent dans des recherches sur la culture et l'homme vietnamiens.
En tant que président de l'Association d'amitié Mongolie-Vietnam, il joue le rôle d'intermédiaire dans l'établissement des relations de coopération sur les plans économique et commercial entre les milieux d'affaires des deux pays. Pour lui, le Vietnam est toujours un lieu sacré, puisque c'est ici qu'il a découvert la pensée révolutionnaire de Hô Chi Minh.
Lê Thu Phuong-AVI/CVN