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>>Équipe Trump: le Sénat poursuit l'audition des futurs ministres
M. Trump maintiendra "au moins pour un certain temps" les sanctions décidées par Barack Obama contre les cyberattaques imputées à Moscou afin d'influencer l'élection présidentielle américaine, précise le WSJ sur son site à l'occasion d'une interview avec le milliardaire new-yorkais.
Mais "si on s'entend et si la Russie nous aide vraiment, pourquoi aurait-on des sanctions si quelqu'un fait vraiment de bonnes choses?", se demande-t-il. Donald Trump, qui prêtera serment vendredi prochain, dit être prêt à rencontrer le président russe Vladimir Poutine après son investiture.
On a par ailleurs appris un peu plus tôt dans la journée que Michael Flynn, qui sera le conseiller à la sécurité nationale du futur président américain, a eu plusieurs entretiens au téléphone ces dernières semaines avec Sergueï Kislyak, l'ambassadeur de Russie aux États-Unis, selon Reuters.
Les deux hommes auraient notamment discuté de l'organisation d'un entretien téléphonique Trump-Poutine après l'investiture du premier. Les positions ouvertement pro-russes de M. Trump sont actuellement sous la loupe depuis un récent rapport des services de renseignement américains selon lequel la Russie l'a aidé à être élu grâce à ses activités de piratage informatique.
Par ailleurs, le site Buzzfeed a publié le 35 pages de notes à l'authenticité incertaine affirmant que la Russie disposait d'informations compromettantes sur M. Trump, qui s'était rendu à Moscou en 2013. Le futur président a vigoureusement rejeté ces allégations. Lors de sa première conférence de presse depuis son élection, il a certes reconnu que la Russie avait tenté d'influer sur le scrutin, avant d'ajouter rapidement qu'elle n'était pas la seule nation à mener des cyberattaques contre son pays.
Parallèlement, la Commission des renseignements du Sénat américain a annoncé le 13 janvier qu'elle allait lancer une enquête sur l'ingérence supposée de Moscou dans la campagne électorale de 2016.
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Donald Trump à la Trump Tower, le 13 janvier. Photo : AFP/VNA/CVN |
M. Trump maintiendra "au moins pour un certain temps" les sanctions décidées par Barack Obama contre les cyberattaques imputées à Moscou afin d'influencer l'élection présidentielle américaine, précise le WSJ sur son site à l'occasion d'une interview avec le milliardaire new-yorkais.
Mais "si on s'entend et si la Russie nous aide vraiment, pourquoi aurait-on des sanctions si quelqu'un fait vraiment de bonnes choses?", se demande-t-il. Donald Trump, qui prêtera serment vendredi prochain, dit être prêt à rencontrer le président russe Vladimir Poutine après son investiture.
On a par ailleurs appris un peu plus tôt dans la journée que Michael Flynn, qui sera le conseiller à la sécurité nationale du futur président américain, a eu plusieurs entretiens au téléphone ces dernières semaines avec Sergueï Kislyak, l'ambassadeur de Russie aux États-Unis, selon Reuters.
Les deux hommes auraient notamment discuté de l'organisation d'un entretien téléphonique Trump-Poutine après l'investiture du premier. Les positions ouvertement pro-russes de M. Trump sont actuellement sous la loupe depuis un récent rapport des services de renseignement américains selon lequel la Russie l'a aidé à être élu grâce à ses activités de piratage informatique.
Par ailleurs, le site Buzzfeed a publié le 35 pages de notes à l'authenticité incertaine affirmant que la Russie disposait d'informations compromettantes sur M. Trump, qui s'était rendu à Moscou en 2013. Le futur président a vigoureusement rejeté ces allégations. Lors de sa première conférence de presse depuis son élection, il a certes reconnu que la Russie avait tenté d'influer sur le scrutin, avant d'ajouter rapidement qu'elle n'était pas la seule nation à mener des cyberattaques contre son pays.
Parallèlement, la Commission des renseignements du Sénat américain a annoncé le 13 janvier qu'elle allait lancer une enquête sur l'ingérence supposée de Moscou dans la campagne électorale de 2016.
Xinhua/VNA/CVN