Start-up : les jeunes souhaitent recevoir plus de soutiens

De nombreux jeunes ont obtenu des succès remarquables dans la création d'entreprises, apportant une contribution positive au développement économique du pays. Cependant, d'autres font face à bien des difficultés. Sur le chemin de l'entrepreneuriat, ils espèrent ainsi obtenir davantage d'assistances des organisations de l'Union de la jeunesse communiste Hô Chi Minh. Opinions de certains d'entre eux.

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Nguyên Thi Huong Thanh, 27 ans, a démarré sa start-up avec la marque de miel de banane Tabai.

Besoin de plus de programmes d'assistance et de concours

Beaucoup de jeunes d'aujourd'hui souhaitent démarrer une start-up pour eux-mêmes, leurs familles et la communauté.

Il s'agit de créer des emplois pour eux-mêmes ainsi que pour d'autres personnes, contribuant donc au développement économique du pays.

Cependant, ils se heurtent à de nombreuses difficultés en termes de fonds d’investissements, de connaissances générales, d’orientations commerciales, de voie de développement.

À cela s'ajoute le manque de label pour gagner la confiance des consommateurs, de relations d'affaires, d'une bonne compréhension du marché (demande des consommateurs, préoccupations pour leur santé), etc.

Face à cette situation, je souhaite obtenir des assistances des organisations de l'Union de la jeunesse communiste Hô Chi Minh, participer à beaucoup d'activités, de programmes ainsi que de concours de start-up.

Lê Yên Thanh, 28 ans, fondateur et directeur général de la Compagnie par actions de technologies Phenikaa MaaS.

Nécessité de créer des clubs de start-up à l'école

À l'heure actuelle, des étudiants se heurtent à des difficultés dans le processus de mise en ordre de leurs idées.

Ce serait très bien s'il y avait un club à l'école pour les soutenir.

Cependant, presque tous les établissements scolaires n'ont pas d'unité spécialisée.

Ainsi, il faudrait la participation de l'Union de la jeunesse pour aider les étudiants à finaliser leurs projets dans un premier temps et à se connecter aux fonds de soutien ensuite.

Nguyên Thi Phuong Châm, 30 ans, fondatrice de la start-up de shampoing aux herbes Cavigreen.

Demande
de financements

Actuellement, de nombreux jeunes retournent dans leur ville natale pour s'établir et faire carrière.

Je suis aussi une jeune qui vient de créer mon entreprise il y a plus d'un an.

Le début est le moment le plus difficile en ce qui concerne des connaissances et l'expérience pratique.

Il y a très peu d'informations officielles pour nous soutenir, nous devons ainsi presque tous nous renseigner par nous-mêmes sur les réseaux sociaux.

De plus, la plus grande difficulté est le capital, car j’ai dû m’équiper d'un grand nombre de machines et d'équipements pour suivre un processus de production de qualité lors du démarrage de mon entreprise.

Les jeunes ont peu de fonds et les programmes de prêts concernent des sommes encore faibles (quelques dizaines de millions de dôngs). Pour en recevoir plus, il faut passer par des procédures de décaissement compliquées telles que bulletin de versement rouge, contrat de travail, etc.

Ainsi, j'espère vraiment que le Comité central de l'Union de la jeunesse communiste Hô Chi Minh accompagnera les jeunes dans leur démarrage d'une entreprise en termes de capital et de cours, afin qu'ils aient l'opportunité d'avoir l'accès le plus rapidement aux connaissances nécessaires pour commencer leurs affaires.


Câm Sa/CVN

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