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Le Vietnam a toujours besoin des aides internationales dans les activités de déminage et de règlement des conséquences des engins meurtriers. |
Photo : Van Duc/VNA/CVN |
Lors de la conférence-bilan des activités de cette association de la période 2014-2019, tenue mardi 24 décembre à Hanoï, selon le général de division Nguyên Duc Soat, président de cette association, en 2020 et dans les années à venir, l’association renforce l'étude et l'application des modèles d’assistance en éducation, en formation professionnelle, en création d’emploi et en intégration communautaire... En plus, l’association est prête à soutenir des victimes accidentées à cause de ces engins.
Cette association va évaluer l’efficacité du modèle « la banque des vaches » pour le généraliser dans les localités. Elle coopère étroitement avec le Fonds de paix de My Lai et autres organisations sociales et humanitaires à donner des soins médicaux aux victimes des bombes et mines, de l’agent orange/dioxine et des gens démunis.
Dès sa fondation en 2014, l'Association a établi un programme d’activités entre 2015 et 2020, collaboré avec les comités populaires des provinces de Hà Giang (Nord), de Quang Tri, de Quang Nam, de Quang Ngai et de Binh Dinh (Centre) dans le soutien des victimes ainsi que dans les activités de sensibilisation aux conséquences des munitions non-explosées laissées par la guerre.
Après la guerre, une grande quantité de bombes, mines et autres produits explosifs sont restés dans le sol au Vietnam, menaçant constamment la vie des habitants. On estime à 6,13 millions d’ha la surface "polluée", soit 18,82% de la superficie du pays. Plus de 100.000 personnes ont été tuées ou blessées à cause de ces explosifs.
VNA/CVN