>>La Journée des enseignants vietnamiens fêtée dignement
Ouvrage "Mon école bien-aimée" du journaliste - enseignant Lê Khăc Hoan. |
Cet ouvrage vient d’être réimprimé pour la 11e fois. Il se nomme Mon école bien-aimée et est signé par le journaliste - enseignant Lê Khăc Hoan. Cependant, cette version a la particularité de comprendre également le roman d’un autre journaliste et enseignant, Dô Quôc Anh, dont le titre est Le professeur des bons élèves en mathématiques.
Selon Lê Khăc Hoan, Mon école bien-aimée raconte son histoire lorsqu’il était professeur principal pendant l'année scolaire 1962 – 1963. Il met en scène Viêt, un élève issu d’une petite commune et transféré dans une école de grand district.
En raison de ses conditions familiales, Viêt doit vivre avec sa grand-mère et fait peu à peu connaissance avec ses enseignants et ses amis dans ce nouvel environnement d'apprentissage. Viet est un excellent étudiant, notamment en mathématiques. Mais Viêt ne réussit pas vraiment à s’intégrer au sein de son nouvel environnement créant ainsi bien de nombreuses péripéties en tout genre. Son histoire reflète l'image typique vietnamienne de l’enfant doué, sérieux, s’efforçant de bien étudier et vouant une obligeance et un respect sans faille envers ses enseignants.
Dô Quôc Anh a indiqué que c’est Lê Khăc Hoan qui l’a poussé à devenir journaliste. Ainsi, Le professeur des bons élèves en mathématiques est l'histoire de Tôn Thân, qui est considéré comme le maître des maîtres en ce qui concerne le domaine des mathématiques au Vietnam.
Même, le professeur Ngô Bao Châu a témoigné : "+Le professeur des bons élèves en mathématiques+ de Dô Quôc Anh est un document très précieux. Le souvenir de cet homme ne disparaîtra jamais de nos cœurs. Nous devons garder notre mémoire en éveil pour les belles choses de la vie si nous voulons vivre aujourd'hui de manière plus humaine".
Se référant aux deux œuvres, le professeur Nguyên Ngoc Ky a lui conclu que Mon école bien-aimée est l'un des livres les plus fascinants qu'il ait lu au collège. Le ton de cette narration est resté très simple, naturel et sincère.
Texte et photo : Minh Thu/CVN