>>Les marchandises pour le Têt 2018 sont prêtes
>>Garantir la sécurité alimentaire pour participer aux chaînes de valeur mondiales
Nguyên Thành Long (en chemise blanche) inspecte un magasin dans le marché Kim Biên. |
Lors de la réunion, Mme Pham Khanh Phong Lan, chef du Comité de gestion sur l’hygiène alimentaire, a déclaré aussi qu’ "Actuellement, nous mettons en œuvre et renforçons les inspections et les surveillances en sécurité alimentaire pour empêcher des aliments insalubres de pénétrer en ville. Ainsi, la ville a créé 12 unités interdisciplinaires pour nous accompagner dans nos tâches prochaines. Par exemple, le 23 janvier, nous avons saisi un containeur frigorifique contenant 4 tonnes de viande de porc avariée, d’origine inconnue dans le district de Binh Chanh. Naturellement, nous avons immédiatement détruit la totalité du contenu de ces viandes".
Nguyên Ngoc Hoa, vice-directeur du Service municipal de l’industrie et du commerce, a relevé que la ville a déployé des actions de traçabilité sur trois produits (la viande de porc, la viande de poulet et les œufs de poules). En moyenne par jour, environ 10.000 cochons ont été examinés dans les marchés en gros et les supermarchés.
En 2018, la ville continuera à réaliser la deuxième étape de contrôle des produits alimentaires, y compris la viande de canard, les autres produits du bétail et de la volaille. Appréciant les efforts de Hô Chi Minh-Ville dans les contrôles en sécurité alimentaire, le vice-ministre Nguyên Thành Long a signalé : À côté des contrôles des aliments insalubres, il est indispensable d’offrir davantage de systèmes d’approvisionnement en aliment propre à tous les consommateurs. C’est la clé essentielle pour remédier à la question des mauvais aliments auxquels nous faisons face aujourd’hui. "Si nous ne développons pas de systèmes d’alimentations propres, nous ne pourrons pas éviter les cas d’empoisonnements alimentaires. Jusqu’à maintenant, Hô Chi Minh-Ville n’effectue qu’une partie de la traçabilité des produits alimentaires, les autres phases comme l'élevage et la culture entre autres, ne sont pas encore assez suivies. Il faut donc encore renforcer les contrôles pour pouvoir assurer la santé des communautés".
Parallèlement, Hô Chi Minh-Ville doit élaborer des mesures et des modèles plus efficaces pour la gestion de la sécurité alimentaire dans les marchés traditionnels ainsi que les restaurants de rue, parce que ce sont des zones à risques pour les consommateurs.
Le 24 janvier au matin, l'inspection interdisciplinaire de la sécurité des aliments du ministère de la Santé, a inspecté le marché Kim Biên (5e arrondissement), lieu très connu pour ses activités commerciales des arômes et des additifs alimentaires. Selon les responsables de la gestion du marché, il y a actuellement 16 commerçants qui s’activent dans ce domaine et qui sont tous tombés d'accord pour transférer leurs affaires au Centre des produits chimiques de HCM-Ville lorsque sa construction sera achevée.
Cependant, Mme Dang Thi Thu Hà, chef responsable de la gestion du marché Kim Biên, a fait savoir que la plupart de ces magasins ne répondent pas aux conditions en termes d’infrastructure et de conservations des marchandises. Les petits commerçants ont également été encouragés à changer leur profession, sans grand succès.