>>La Chine maintient un grand nombre de navires pour protéger sa plate-forme
>>Souveraineté : le Vietnam proteste et signe à l’ONU
Cette résolution, qui a été transmise à l'Union européenne, a précisé que le 2 mai 2014, escortée d’une centaine de navires, la plate-forme de forage Haiyang Shiyou-981 de la Chine a été installée dans la zone maritime relevant du lot 143, un champ pétrolier en zone économique exclusive et sur le plateau continental du Vietnam. Les navires accompagnant cette plate-forme ont fait preuve d'une attitude agressive en employant des canons à eau contre des navires des services officiels et des bateaux civils du Vietnam. Ils les ont même percutés, causant des dommages matériels et blessant plusieurs personnes.
Face à ces tensions en Mer Orientale, les associations d’amitié avec le Vietnam en Europe se sont déclarées profondément préoccupées. Elles ont affirmé que les différends frontaliers autour des archipels de Hoàng Sa (Paracel) et de Truong Sa (Spratly) ne peuvent pas être réglés par des actes provocateurs et par la force ainsi que par la politique du fait accompli.
Cette résolution a souligné que le droit international devait être respecté et que les preuves historiques concernant la délimitation des territoires étaient une base primordiale. En ce qui concerne la souveraineté maritime, il faut appliquer les principes, règles et recommandations de la convention des Nations unies sur le droit de la mer de 1982 (CNUDM), que la Chine et le Vietnam ont ratifiée. La Chine a clairement violé le droit international, fait pression sur les pays voisins pour atteindre son objectif. Cela est inacceptable.
Concernant le cas du Vietnam, la résolution commune des associations d'amitié avec le Vietnam en Europe a souligné que la Chine avait porté atteinte aux relations et à la coopération de longue date et violé les accords signés avec l’ASEAN, notamment la Déclaration sur la conduite des parties en Mer Orientale (DOC), signée en 2002.
Les associations d’amitié de différents pays européens ont appelé la Chine à retirer sa plate-forme de forage et ses navires d’escorte de la zone économique exclusive du Vietnam, à mettre fin à tous les actes recourant à la force pour créer un état de fait accompli en Mer Orientale. Elles ont appelé la Chine à respecter ses engagements stipulés dans la Déclaration sur la conduite des parties en Mer Orientale (DOC), ce pour favoriser la coopération et le règlement des différends conformément au droit international.
>>Souveraineté : le Vietnam proteste et signe à l’ONU
Cette résolution, qui a été transmise à l'Union européenne, a précisé que le 2 mai 2014, escortée d’une centaine de navires, la plate-forme de forage Haiyang Shiyou-981 de la Chine a été installée dans la zone maritime relevant du lot 143, un champ pétrolier en zone économique exclusive et sur le plateau continental du Vietnam. Les navires accompagnant cette plate-forme ont fait preuve d'une attitude agressive en employant des canons à eau contre des navires des services officiels et des bateaux civils du Vietnam. Ils les ont même percutés, causant des dommages matériels et blessant plusieurs personnes.
Face à ces tensions en Mer Orientale, les associations d’amitié avec le Vietnam en Europe se sont déclarées profondément préoccupées. Elles ont affirmé que les différends frontaliers autour des archipels de Hoàng Sa (Paracel) et de Truong Sa (Spratly) ne peuvent pas être réglés par des actes provocateurs et par la force ainsi que par la politique du fait accompli.
Cette résolution a souligné que le droit international devait être respecté et que les preuves historiques concernant la délimitation des territoires étaient une base primordiale. En ce qui concerne la souveraineté maritime, il faut appliquer les principes, règles et recommandations de la convention des Nations unies sur le droit de la mer de 1982 (CNUDM), que la Chine et le Vietnam ont ratifiée. La Chine a clairement violé le droit international, fait pression sur les pays voisins pour atteindre son objectif. Cela est inacceptable.
Concernant le cas du Vietnam, la résolution commune des associations d'amitié avec le Vietnam en Europe a souligné que la Chine avait porté atteinte aux relations et à la coopération de longue date et violé les accords signés avec l’ASEAN, notamment la Déclaration sur la conduite des parties en Mer Orientale (DOC), signée en 2002.
Les associations d’amitié de différents pays européens ont appelé la Chine à retirer sa plate-forme de forage et ses navires d’escorte de la zone économique exclusive du Vietnam, à mettre fin à tous les actes recourant à la force pour créer un état de fait accompli en Mer Orientale. Elles ont appelé la Chine à respecter ses engagements stipulés dans la Déclaration sur la conduite des parties en Mer Orientale (DOC), ce pour favoriser la coopération et le règlement des différends conformément au droit international.
VNA/CVN