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Il est nécessaire de développer durable le bassin du Mékong |
Ce consensus a été conclu lors d’une réunion de deux jours tenue les 1er et 2 février au Laos du groupe des Amis du bas-Mékong (FLM - Friends of Lower Mekong).
Les partenaires de développement comprennent également l'Australie, l'Union européenne, la République de Corée, la Banque asiatique de Développement (BAD) et la Banque mondiale (BM). Les cinq pays d'Asie du Sud-Est riverains du Mékong sont Cambodge, Laos, Myanmar, Thaïlande et Vietnam.
Les participants sont convenus de soutenir le développement durable de cette région, notamment dans la gestion de l'agriculture et des ressources en eau, l'utilisation rationnelle de l'énergie et l'environnement.
Lors de cette réunion, le Japon a réaffirmé l’importance du resserrement des liens entre le cadre coopératif Japon-Mékong et l’initiative FLM pour le développement du bassin du Mékong.
De son côté, le Département d’État américain a fait savoir que Washington appuierait la promotion de l’utilisation des énergies renouvelables et des technologies à faible émission de gaz à effet de serre. De même, les États-Unis accorderont 500.000 dollars pour soutenir la Commission du Mékong dans les études sur l'impact des projets hydroélectriques sur l’environnement et les populations riveraines.
Lors de la visite au Japon du président américain Barack Obama en avril 2014, Tokyo et Washington ont convenu d'intensifier leur assistance pour la connectivité au sein de l’ASEAN, dont la région du bassin du Mékong, par l'intermédiaire d'une coopération plus étroite entre les Sommets Japon-Mékong et l’Initiative du bas-Mékong (LMI) des États-Unis.