>> Le Vietnam et la Nouvelle-Zélande partagent leur approche commune
>> Un programme vietnamo-néo-zélandais créé de nouvelles variétés de pitaya
>> Le Vietnam et la Nouvelle-Zélande partagent leur expérience en matière d’audit
La 8e réunion du Comité mixte économique et commercial Vietnam - Nouvelle-Zélande (JTEC) vient de se tenir à Hanoï. |
Photo : VNA/CVN |
La 8e réunion du Comité mixte économique et commercial Vietnam - Nouvelle-Zélande (JTEC) vient de se tenir à Hanoï, sous l’égide de la vice-ministre vietnamienne de l'Industrie et du Commerce, Phan Thi Thang, et du vice-ministre néo-zélandais des Affaires étrangères et du Commerce, Vangelis Vitalis.
Les deux parties ont estimé que les relations économiques bilatérales se développaient fortement depuis l’établissement du partenariat stratégique en 2020. Elles ont félicité des progrès réalisés dans l'accès au marché pour les produits agricoles vietnamiens tels que les citrons et les pamplemousses et les courges et les fraise néo-zélandaises, dans le cadre d’un accord conclu à la fin de l'année dernière.
Dans une rencontre avec l’Agence Vietnamienne d’Information, en marge de la réunion, Vangelis Vitalis a annoncé que les deux parties étaient déterminés à porter le commerce bilatéral à 2 milliards d'USD. L'achèvement du processus d'ouverture du marché pour les citrons et les pamplemousses du Vietnam et les courges et les fraises de la Nouvelle-Zélande fin de 2022 représente un effort pour se rapprocher de cet objectif.
La réunion a porté sur de nouvelles questions telles que l'amélioration de la certification électronique, la mise en place ou non d'un nouveau système de contrôle pour favoriser davantage les transactions commerciales entre les deux pays, a-t-il dit.
Lors de la signature du procès verbal approuvant l'engagement bilatéral. |
Photo : VNA/CVN |
Selon le ministre, la Nouvelle-Zélande ne peut pas cultiver des citrons de la même qualité que le Vietnam. Et le Vietnam ne peut pas cultiver des fraises et des courges comme le fait la Nouvelle-Zélande. Et donc les deux pays peuvent se compléter. Les produits agricoles vietnamiens ont également une grande réputation sur le marché, notamment les fruits, au goût délicieux et de grande qualité.
À l'avenir, le Vietnam et la Nouvelle-Zélande étendront leur coopération à de nombreux autres domaines. Par exemple, la Nouvelle-Zélande pourrait exporter des logiciels de gestion de la santé au Vietnam et recevoir des ingénieurs vietnamiens venus travailler sur son sol.
L'éducation est également un vaste domaine, ouvrant de nombreuses opportunités pour les deux parties. La Nouvelle-Zélande peut offrir des cours de formation au Vietnam, tandis que le Vietnam peut bénéficier de l'éducation de haute qualité de la Nouvelle-Zélande.
À propos de l'environnement d'investissement au Vietnam, Vangelis Vitalis a estimé que l'environnement vietnamien devenait de plus en plus compétitif. A l'avenir, la Nouvelle-Zélande doit saisir davantage l'opportunité, accroître les contacts avec l'ASEAN et renforcer sa présence au Vietnam.
VNA/CVN