>> Président turc : la nécessité d'expédier céréales et engrais russes via le couloir céréalier
>> L'ONU travaillera sur le rétablissement des livraisons de produits alimentaires russes
Récolte du blé dans un champ à Kharkiv, Nord-Est de l'Ukraine, le 19 juillet. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
"Vous pouvez être assurés que tout le monde se concentre sur la réalisation de progrès sur cette question", a déclaré Stéphanie Tremblay et a exprimé l'espoir d'une issue positive aux négociations sur la prolongation de l'accord céréalier.
La porte-parole adjointe a ajouté que dans ces négociations, la "diplomatie discrète" était essentielle pour obtenir le résultat souhaité.
Le 2 novembre, la Russie a décidé de reprendre sa participation à l'accord sur les céréales après avoir reçu, sous la médiation des Nations unies et de la Turquie, des garanties écrites de l'Ukraine de ne pas utiliser le corridor de sécurité de la mer Noire à des fins militaires.
Dans le même temps, Moscou a déclaré qu'elle se réservait le droit de se retirer de l'accord si Kiev violait les garanties données.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré le 3 novembre que Moscou était satisfait que Kiev ait signé des garanties de sécurité avec l'aide d'Ankara, mais qu'il ne voyait toujours pas de résultat sur la deuxième partie du paquet d'accords concernant la suppression des obstacles aux exportations d'engrais et de céréales russes.
TASS/VNA/CVN