>>Attentat de Bangkok : un suspect étranger a été identifié
Selon le quotidien thaïlandais The Nation du 7 septembre, le suspect étranger arrêté le 1er septembre a admis avoir remis une bombe à l’homme au t-shirt jaune qui est le principal suspect de l’attentat à la bombe survenu le 17 août à Bangkok. Cet étranger, dont le nom et la nationalité ne sont pas encore identifiés, a déclaré qu’il avait reçu l’ordre de l’instigateur baptisé «Izaan» d’acquérir des matériaux sur Internet pour fabriquer une bombe. Le travail accompli, Izaan lui a ordonné de remettre la bombe à l’homme au t-shirt jaune. Selon ce suspect, Izaan a quitté la Thaïlande le 16 août, et ce serait Izaan qui aurait donné des instructions au principal suspect de l’attentat du 17 août et à l’auteur de l’attaque du lendemain à proximité du pont de Sathorn. À ce jour, la police thaïlandaise a arrêté deux suspects étrangers. Selon la police, ces deux personnes ne sont pas le poseur de bombe lors de l’attentat du 17 août près du sanctuaire Erawan qui a fait 20 morts et 120 blessés. Elles pourraient bien faire partie, toutefois, du réseau qui avait organisé ces évènements.
Selon le quotidien thaïlandais The Nation du 7 septembre, le suspect étranger arrêté le 1er septembre a admis avoir remis une bombe à l’homme au t-shirt jaune qui est le principal suspect de l’attentat à la bombe survenu le 17 août à Bangkok. Cet étranger, dont le nom et la nationalité ne sont pas encore identifiés, a déclaré qu’il avait reçu l’ordre de l’instigateur baptisé «Izaan» d’acquérir des matériaux sur Internet pour fabriquer une bombe. Le travail accompli, Izaan lui a ordonné de remettre la bombe à l’homme au t-shirt jaune. Selon ce suspect, Izaan a quitté la Thaïlande le 16 août, et ce serait Izaan qui aurait donné des instructions au principal suspect de l’attentat du 17 août et à l’auteur de l’attaque du lendemain à proximité du pont de Sathorn. À ce jour, la police thaïlandaise a arrêté deux suspects étrangers. Selon la police, ces deux personnes ne sont pas le poseur de bombe lors de l’attentat du 17 août près du sanctuaire Erawan qui a fait 20 morts et 120 blessés. Elles pourraient bien faire partie, toutefois, du réseau qui avait organisé ces évènements.
VNA/CVN