>>Mer Orientale : un expert ukrainien affirme le rôle du droit international
>>Mer Orientale : un journal malaisien souligne le rôle de l’ASEAN
>>Mer Orientale : des experts russes affirment le rôle primordial du droit international
La ministre australienne des Affaires étrangères Marise Payne. |
Photo : Getty Images/VNA/CVN |
Dans une déclaration concernant la décision de la Cour permanente d'arbitrage (CPA), basée à La Haye (Pays-Bas) le 12 juillet 2016, sur les différends en Mer Orientale, la cheffe de la diplomatie australienne Marise Payne a déclaré que la Convention des Nations unies sur le droit de la mer de 1982 (CNUDM) définit le cadre juridique dans lequel toutes les activités dans les océans et les mers doivent être menées.
"La Convention contient des règles claires qui s'appliquent à tous les pays pour les réclamations maritimes, les utilisations licites des espaces maritimes, y compris la liberté de navigation et de survol, et le règlement pacifique des différends", a-t-elle souligné.
Le gouvernement australien a constamment appelé les parties concernées à observer à la décision du Tribunal, a déclaré la ministre Payne, ajoutant que la décision de la CPA a conclu que la revendication de la Chine sur les "droits historiques" établis dans le "long cours de la pratique historique" en Mer Orientale, était incompatible avec UNCLOS et, dans la mesure de cette incohérence, invalide.
Le respect du droit international est fondamentale pour le maintien de la paix, de la prospérité et de la stabilité de la région, a-t-elle déclaré, soulignant qu'il permet à tous les États - petits et grands - de résoudre les différends de manière pacifique.
La ministre australienne a promis que son pays continuerait à soutenir le droit de tous les pays de chercher à résoudre les différends de manière pacifique et conformément au droit international, y compris la CNUDM de 1982.
VNA/CVN