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| Le directeur général de l'AIEA Rafael Grossi à Téhéran en mars dernier. |
| Photo : AFP/VNA/CVN |
L'un des litiges concernait les allégations de l'AIEA selon lesquelles il y aurait eu un "site nucléaire non déclaré" dans la ville d'Abadeh, dans la province méridionale de Fars, a indiqué l'IRNA, citant des sources informées.
L'autre portait sur l'affirmation de l'agence selon laquelle l'Iran aurait "produit de l'uranium enrichi à 83,7%, très proche d'une qualité militaire" à l'usine de Fordow, dans la province centrale de Qom. Téhéran a rejeté cette affirmation comme "inexacte", selon l'IRNA.
L'IRNA a salué la clôture de ces deux affaires comme des "réussites diplomatiques" pour l'Iran.
En novembre de l'année dernière, le Conseil des gouverneurs de l'AIEA a adopté une résolution proposée par les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France et l'Allemagne, appelant l'Iran à collaborer avec les enquêteurs de l'agence au sujet de prétendues "traces d'uranium" dans un certain nombre de sites "non déclarés". L'Iran avait rejeté ces allégations comme "sans fondement".
Début mars, le directeur général de l'AIEA Rafael Grossi a effectué une visite de deux jours à Téhéran, la capitale iranienne, et les deux parties sont parvenues à un accord sur de nouveaux échanges basés sur une meilleure coopération de l'Iran et une plus grande ouverture aux inspections de l'agence.
Xinhua/VNA/CVN
