>>Charlie Hebdo : fin de traque sanglante pour les trois jihadistes
La façade a été repeinte, le magasin rénové. Pour montrer que "la vie continue", l'Hyper Cacher de la Porte de Vincennes, à Paris, a rouvert dimanche 15 mars, deux mois après une prise d'otages qui a tétanisé la France et coûté la vie à quatre Juifs. Le 9 janvier, peu avant 13h00, Amédy Coulibaly fait irruption dans la boutique, armé d'une kalachnikov, le début de longues heures d'angoisse. L'assaut des forces de l'ordre dans l'après-midi laisse place à une scène de crime : des corps à terre, des chariots renversés, la porte en verre brisée. Aujourd'hui, le supermarché casher est toujours là, sa façade noire repeinte en blanc, une banderole provisoire attendant d'être remplacée par l'enseigne définitive. Baies vitrées, allées élargies, touches de couleur, le magasin a été entièrement rénové pour être "plus chaleureux", "plus lumineux", explique Laurent Mimoun, l'un des dirigeants de la chaîne, qui compte onze magasins, tous placés sous surveillance policière.
La façade a été repeinte, le magasin rénové. Pour montrer que "la vie continue", l'Hyper Cacher de la Porte de Vincennes, à Paris, a rouvert dimanche 15 mars, deux mois après une prise d'otages qui a tétanisé la France et coûté la vie à quatre Juifs. Le 9 janvier, peu avant 13h00, Amédy Coulibaly fait irruption dans la boutique, armé d'une kalachnikov, le début de longues heures d'angoisse. L'assaut des forces de l'ordre dans l'après-midi laisse place à une scène de crime : des corps à terre, des chariots renversés, la porte en verre brisée. Aujourd'hui, le supermarché casher est toujours là, sa façade noire repeinte en blanc, une banderole provisoire attendant d'être remplacée par l'enseigne définitive. Baies vitrées, allées élargies, touches de couleur, le magasin a été entièrement rénové pour être "plus chaleureux", "plus lumineux", explique Laurent Mimoun, l'un des dirigeants de la chaîne, qui compte onze magasins, tous placés sous surveillance policière.
AFP/VNA/CVN