>>Après la mort de Foley, Washington réaffirme sa politique anti-rançon
Les parents du journaliste américain James Foley, sauvagement exécuté, ont confié dimanche 24 août prier pour les otages en Syrie, lors de la messe des obsèques dans sa ville de Rochester, dans le New Hampshire (Nord-Est). Peu avant la messe en l'église Our Lady of the Rosary, à Rochester, John et Diane Foley ont confié combien ils espéraient que leur fils, tué à 40 ans, devienne un exemple pour ceux qui défendent la liberté de la presse et la paix dans le monde. Ils ont également appelé de leurs voeux la libération d'autres journalistes enlevés, notamment Steven Sotloff, un Américain de 31 ans, détenu avec leur fils et menacé de mort sur la vidéo où l'on voit l'exécution de James Foley par un combattant masqué de l'État islamique (EI). Au moment même où se déroulait la messe, sous les auspices de l'évèque de Manchester Peter Libasci, un autre Américain en captivité en Syrie, Peter Theo Curtis, 45 ans, a été libéré, a annoncé le secrétaire d'État John Kerry.
AFP/VNA/CVN