Avec plus de 230 kilomètres de lignes frontalières, deux postes frontaliers internationaux, un poste frontalier principal et neuf autres auxiliaires, Lang Son dispose de conditions favorables pour faciliter le commerce transfrontalier, en particulier avec la Chine, a dit le chef du PCV Nguyên Phu Trong.
Le secrétaire général du PCV Nguyên Phu Trong a visité le 22 avril la province de Lang Son (Nord). |
Le secrétaire général du PCV a exhorté Lang Son à se concentrer sur le développement agro-sylvicole de haute qualité, l'application des sciences et technologies reliée au développement de l'industrie manufacturière, l'élargissement des exportations, ajoutant que Lang Son pourrait facilement nouer des relations avec Hai Phong, Quang Ninh et d'autres provinces voisines.
Lang Son a aussi été appelé à maintenir la stabilité politique, la sécurité et la défense ainsi que l’ordre public, et à consolider l’amitié avec les localités chinoises. Il a demandé que les modèles réussis de construction de la Nouvelle ruralité soient développés et que la coopération multiforme avec les provinces frontalières chinoises soient renforcée pour l'intérêt commun. Parallèlement au développement économique, l'édification du Parti est cruciale et la base de toute révolution, a-t-il dit.
Ces cinq dernières années, Lang Son a enregistré un revenu moyen par habitant de 33,4 millions de dongs/an (1.590 dollars), un taux de pauvreté de 14,9%. La valeur totale des activités d'import-export a augmenté de 1,7 fois, avec 3,5 milliards de dollars en 2014, et 6 milliards de dôngs versés au budget de l'État.
À cette occasion, Nguyên Phu Trong a rendu visite à des familles bénéficiaires de politiques sociales et à des foyers ayant fait fortune.
Mercredi 22 avril également, Nguyên Phu Trong s’est rendu dans la commune de Chi Lang, rattachée au district éponyme, pour superviser la mise en oeuvre du programme de Nouvelle ruralité et l’édification du Parti. Il a salué les efforts des autorités locales pour encourager la population à changer de production agricole. Nguyên Phu Trong a souligné que des problèmes persistent cependant, et qu’il convient donc de trouver des débouchés pour écouler les produits locaux.