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Le trois-mâts norvégien Stratsraad Lehmkulh passe le Pont de Normandie, à Honfleur, pour rejoindre Rouen et participer à la 8e édition de l'Armada, le 7 juin. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
Pour Paul, 27 ans, marin sur le patrouilleur Flamant de la Marine nationale, c'est la première participation à l'Armada. "J'avais déjà participé à un événement similaire à Brest en 2016. Mais ici, à Rouen, c'est beaucoup plus grand et plus impressionnant", déclare le jeune homme, qui compte "en profiter pour aller visiter d'autres bateaux".
Vingt-cinq navires sont à quai jeudi 8 juin dans l'après-midi, les autres étant attendus jusqu'à lundi 12 juin.
Vue aérienne des voiliers participant à la 8e édition de l'Armada, le long d'un quai à Rouen, le 8 juin. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
"Sur les 54 ambassades contactées, une dizaine a répondu présent pour envoyer des bateaux propriétés d'État", déclare Jean-Paul Rivière, président de l'évènement. "Cela représente un tiers de la flotte, les autres sont privés et rémunérés par l'Armada avec les soirées d'entreprise pour venir, grâce à quoi la gratuité est assurée pour le grand public".
"Les visiteurs sont là, mais l'affluence est encore loin de celle du vendredi et du samedi", conclut-il.
"L'Armada, c'est une fête populaire et en même temps l'occasion de lancer un appel à la responsabilité. La Seine et la mer sont fragiles et l'Armada est un bon moyen pour faire prendre conscience aux gens qu'il faut en prendre soin", souligne Bertrand Bellanger, président du conseil départemental de Seine-Maritime.
AFP/VNA/CVN