>>COVID-19 : la Thaïlande lutte contre l’immigration illégale
>>La Thaïlande propose d'ouvrir la porte aux touristes étrangers
Des agents de santé en Thaïlande. |
Photo : AP/CVN |
Il s’agit d’un homme de 37 ans qui avait été testé positif au SARS-CoV-2 lors de tests hebdomadaires.
Il a travaillé comme DJ dans une boîte de nuit et n'a ni voyagé à l'étranger ni eu de contacts étroits avec des patients atteints de COVID-19.
La Thaïlande n'a enregistré aucun cas de transmission intra-communautaire depuis le 26 mai. Tous les cas signalés au cours des trois derniers mois étaient des cas importés détectés dans des zones en quarantaine.
Le même jour, la Malaisie a annoncé ajouter au moins neuf autres pays, dont les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, à sa liste de détenteurs d'un laissez-passer d'immigration à long terme à interdire d'entrer sur son sol à partir du 7 septembre.
Mardi 1er septembre, le gouvernement malaisien a déclaré qu'il interdirait l'entrée des détenteurs de laissez-passer en provenance d'Inde, d'Indonésie et des Philippines dans le but de réduire les cas importés de coronavirus dans ce pays d’Asie du Sud-Est.
L'interdiction inclura désormais tous les pays qui ont signalé plus de 150.000 cas de coronavirus.
En Indonésie, les autorités de Jakarta sont sur le point de prendre une politique qui exigera que les patients de COVID-19 dans la capitale soient mis en quarantaine dans les centres désignés, y compris l'hôpital de campagne implanté dans le village des athlètes de Kemayoran.
Jakarta, qui abrite quelque 10 millions de personnes, - l'épicentre du coronavirus du pays - a récemment été aux prises avec le nombre croissant d'hospitalisations parmi les patients atteints de COVID-19.
Jusqu’au 2 décembre, la ville a enregistré au moins 41.250 cas de COVID-19, dont 1.219 décès et 3.341 sont actuellement hospitalisés.
VNA/CVN