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Les sécheresses prolongées au Salvador, au Guatemala et au Honduras - exacerbées par le phénomène El Nino de 2014 à 2016 - contribuent à l'augmentation de la migration irrégulière de ces pays vers les États-Unis, indique une étude de plusieurs organisations internationales publiée mercredi 23 août, citée par l'ONU dans son communiqué. L'étude montre la nécessité d'investir dans des programmes à long terme afin de décourager les personnes de la région du Corredor Seco à émigrer et de réduire les risques pour les émigrés et l'impact sur les familles qu'ils ont laissées derrières eux. Financée et coproduite par le Programme alimentaire mondial des Nations Unies (PAM), le Fonds international pour le développement agricole (FIDA) et la Banque interaméricaine de développement (IBD), l'étude a été réalisée en collaboration avec l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) et l'Organisation des Etats américains (OEA).