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Une rue de Douma dans la Ghouta orientale, en Syrie. |
Photo : Reuters/VNA/CVN |
"Nous démentons fermement cette information", a souligné le général Youri Evtouchenko, chef du Centre russe pour la réconciliation en Syrie, selon des propos rapportés par les médias russes.
"Nous sommes prêts, une fois que Douma sera libérée, à envoyer immédiatement des spécialistes russes en défense nucléaire, chimique et biologique pour recueillir les données qui confirmeront que ces assertions sont montées de toutes pièces", a-t-il ajouté.
Les États-Unis ont accusé dimanche 8 avril les forces syriennes d'avoir fait recours à une possible attaque chimique dans la Ghouta orientale.
Le gouvernement syrien a repris ses raids aériens vendredi 6 avril contre cette ville située dans la Ghouta orientale, pour la première fois depuis dix jours, après l'échec de négociations avec un groupe terroriste qui reste encore dans cette zone.
Le gouvernement, a lancé le 18 février une offensive sur la Ghouta orientale, avec l'objectif de reprendre aux groupes terroristes armés les zones qu'ils contrôlaient. Après des semaines de bombardements intenses, deux groupes criminels ont négocié leur évacuation vers des secteurs du Nord du pays qui étaient sous leur domination, permettant au forces gouvernementales de reprendre 95% de la Ghouta orientale.
APS/VNA/CVN