L'événement a eu lieu avec la participation de représentants du ministère polonais des Affaires étrangères, des ambassades des pays membres de l'ASEAN, de Russie et du Japon, ainsi que de plusieurs experts sur la région Asie-Pacifique et de journalistes locaux.
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| La situation en Mer Orientale a été le point culminant d'un débat organisé récemment à Varsovie par le CSM. |
CSM a présenté son rapport sur la situation en Mer Orientale, qui a exploré l'origine des litiges, les revendications de souveraineté des parties concernées, la construction d'îles artificielles, la militarisation, ainsi que les relations entre les pays impliqués, et les positions des États-Unis, de l'Union européenne, du Japon, de l'Inde et de l'Australie et du G7 (les sept plus grandes puissances économiques du monde).
Michal Kolodziejski, chef du Département sur l’Asie-Pacifique relevant du ministère polonais des Affaires étrangères, a présenté la position de son pays. Selon lui, Varsovie souhaite que les parties concernées maintiennent la stabilité dans la région, règlent tous les différends pacifiquement par le droit international, et évitent des actions unilatérales à même d'accroître les tensions en Mer Orientale.
De son côté, l’ambassadeur de Malaisie, Ahmad Fadil Shasuddin, a déclaré son soutien pour le règlement de la question par le droit international sur la base de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer.
Randy Arquiza, premier secrétaire de l'ambassade des Philippines, lui, a fourni des informations sur le procès intenté par son pays à la Chine pour ses revendications en matière de souveraineté en Mer Orientale.
Les participants ont souligné que les puissances mondiales doivent favoriser le processus de règlement des différends en Mer Orientale pour garantir la paix et la stabilité dans cette région.