>> Mer Orientale : des érudits russes soulignent la valeur stratégique de la CNUDM
>> Les activités en Mer Orientale doivent observer strictement le droit international
>> Nécessité de maintenir la paix et la sécurité en Mer Orientale
Les intervenants au colloque sur la Mer Orientale en France. |
Photo : VNA/CVN |
Selon le président de l'Institut EGA, Alexandre Negrus, la principale raison pour laquelle l'institut organise ce colloque est que la Mer Orientale est une zone présentant toujours des dangers potentiels.
Les différends et les tensions en Mer Orientale sont l'un des problèmes complexes qui deviennent facilement un point chaud dans le monde aujourd'hui. Par conséquent, les pays, dont la France, doivent également être pleinement conscients du rôle et de l'importance de la région ainsi que des risques et des défis posés, a-t-il souligné.
Le colloque n’a pas l'ambition de résoudre le problème, mais souhaite apporter plus d'informations sur le droit international, notamment la CNUDM 1982, pour contribuer à réduire le risque de tension.
Les participants ont donné des informations actualisées et objectives, avertissant le public international d'éventuels développements négatifs en Mer Orientale. |
Photo : VNA/CVN |
Les participants ont donné des informations actualisées et objectives, avertissant le public international d'éventuels développements négatifs en Mer Orientale, tout en soulignant l'importance d'assurer la paix, la stabilité, la sécurité et la liberté de navigation dans la zone de la Mer Orientale, la nécessité de respecter et de mettre en œuvre la CNUDM 1982, les engagements des pays de la région, notamment la Déclaration sur la conduite des parties en Mer Orientale (DOC).
Ils ont également appelé la France, l'Union européenne et le monde à jouer leur rôle dans la résolution des différends et désaccords régionaux, sur la base du droit international, dans le respect de la CNUDM 1982 et dans l'élargissement du cadre de coopération dans tous les domaines pour la région.
VNA/CVN