>>Maltsev et Valitova font vibrer la Russie
Les Championnats du monde sont partis à toute allure dès la première journée avec un premier record du monde, signé par la Suédoise Sarah Sjostrom en demi-finales sur 100 m papillon (55.74).
Elle n'a que 18 ans et Katie Ledecky s'annonce d'entrée de jeu comme la superstar de ces Mondiaux.
La prodige américaine, tenante du titre, a largement dominé la finale du 400 m libre (3:59.13), devant Sharon Van Rouwendaal, auréolée d'une médaille inédite pour les Pays-Bas sur cette course (4:03.02).
"Je ne peux pas être plus heureuse", a dit la jeune Américaine aux cheveux blonds. "La compétition est rude ici et j'ai pu sentir à quel point les autres filles bataillaient vraiment dur et ça m'a permis d'aller plus vite. C'était une course rapide".
Ledecky entre dans le cercle très fermé des championnes du monde à avoir conservé leur titre sur 400 m libre avec la Française Laure Manaudou (2005, 2007) et l'Italienne Federica Pellegrini (2009, 2011).
L'Américaine, qui détient trois records du monde dont celui du 400 m libre, a apporté aux États-Unis la 100e médaille mondiale féminine de l'Histoire de la natation.
Elle est loin d'en avoir fini en Russie alors qu'elle défendra aussi ses titres sur 800 m et 1.500 m libre.
"Cette victoire aujourd'hui m'a donné beaucoup de confiance pour réussir le reste de la semaine. Et beaucoup d'excitation !", a-t-elle ajouté.
Le rêve de gagner
Sun Yang a démarré fort lui aussi sa campagne en Russie, où il entend remporter les quatre courses individuelles sur lesquelles il s'est engagé (200 m, 400 m, 800 m et 1.500 m libre).
Il s'est imposé haut la main sur 400 m libre (3:42.58), conservant son titre. Le Britannique James Guy a lui glané sa première grande médaille avec l'argent (3:43.75).
Sun est entré dans la légende de son pays en devenant le nageur chinois le plus titré en Championnat du monde avec six médailles d'or.
Et il n'en était pas peu fier ! Ce grand gars de presque 2 mètres a hurlé sa joie et tapé du poing dans l'eau à n'en plus finir.
Sun a remporté les titres olympiques sur 400 m et 1500 m libre à Londres en 2012. Et a poursuivi sa domination sur les courses de longue distance lors des Mondiaux de Barcelone en 2013 avec trois médailles d'or (400 m, 800 m et 1500 m).
"J'ai connu pas mal de difficultés depuis Barcelone. Je suis allé m'entraîner en Australie et j'ai souffert d'une blessure à une main. Mais j'avais le rêve de gagner à Kazan", a-t-il expliqué.
Sur les deux autres finales de la journée, la France a conservé son invincibilité sur le relais 4x100 m libre, à la barbe des Russes, dépités d'avoir perdu devant leur public.
Les Français, emmenés par leur star, le champion olympique du 50 m libre Florent Manaudou, se sont imposés en 3 min 10 sec 74, après avoir frôlé la disqualification pour un départ un peu trop anticipé de Fabien Gilot.
La finale s'est nagée sans la présence des États-Unis, éliminés en séries. C'est la première fois dans l'histoire des championnats du monde que les Américains manquent une finale. Ils détiennent le record de victoires (11).
Chez les filles, le relais 4x100 m libre a été remporté par l'Australie (3:31.48).
Les Championnats du monde sont partis à toute allure dès la première journée avec un premier record du monde, signé par la Suédoise Sarah Sjostrom en demi-finales sur 100 m papillon (55.74).
Elle n'a que 18 ans et Katie Ledecky s'annonce d'entrée de jeu comme la superstar de ces Mondiaux.
La prodige américaine, tenante du titre, a largement dominé la finale du 400 m libre (3:59.13), devant Sharon Van Rouwendaal, auréolée d'une médaille inédite pour les Pays-Bas sur cette course (4:03.02).
Katie Ledecky a apporté aux États-Unis la 100e médaille mondiale féminine de l'histoire de la natation. Photo : AFP/VNA/CVN |
"Je ne peux pas être plus heureuse", a dit la jeune Américaine aux cheveux blonds. "La compétition est rude ici et j'ai pu sentir à quel point les autres filles bataillaient vraiment dur et ça m'a permis d'aller plus vite. C'était une course rapide".
Ledecky entre dans le cercle très fermé des championnes du monde à avoir conservé leur titre sur 400 m libre avec la Française Laure Manaudou (2005, 2007) et l'Italienne Federica Pellegrini (2009, 2011).
L'Américaine, qui détient trois records du monde dont celui du 400 m libre, a apporté aux États-Unis la 100e médaille mondiale féminine de l'Histoire de la natation.
Elle est loin d'en avoir fini en Russie alors qu'elle défendra aussi ses titres sur 800 m et 1.500 m libre.
"Cette victoire aujourd'hui m'a donné beaucoup de confiance pour réussir le reste de la semaine. Et beaucoup d'excitation !", a-t-elle ajouté.
Le rêve de gagner
Sun Yang a démarré fort lui aussi sa campagne en Russie, où il entend remporter les quatre courses individuelles sur lesquelles il s'est engagé (200 m, 400 m, 800 m et 1.500 m libre).
Il s'est imposé haut la main sur 400 m libre (3:42.58), conservant son titre. Le Britannique James Guy a lui glané sa première grande médaille avec l'argent (3:43.75).
Sun Yang, le 2 août à Kazan. Photo : Xinhua/VNA/CVN |
Et il n'en était pas peu fier ! Ce grand gars de presque 2 mètres a hurlé sa joie et tapé du poing dans l'eau à n'en plus finir.
Sun a remporté les titres olympiques sur 400 m et 1500 m libre à Londres en 2012. Et a poursuivi sa domination sur les courses de longue distance lors des Mondiaux de Barcelone en 2013 avec trois médailles d'or (400 m, 800 m et 1500 m).
"J'ai connu pas mal de difficultés depuis Barcelone. Je suis allé m'entraîner en Australie et j'ai souffert d'une blessure à une main. Mais j'avais le rêve de gagner à Kazan", a-t-il expliqué.
Sur les deux autres finales de la journée, la France a conservé son invincibilité sur le relais 4x100 m libre, à la barbe des Russes, dépités d'avoir perdu devant leur public.
Les Français, emmenés par leur star, le champion olympique du 50 m libre Florent Manaudou, se sont imposés en 3 min 10 sec 74, après avoir frôlé la disqualification pour un départ un peu trop anticipé de Fabien Gilot.
La finale s'est nagée sans la présence des États-Unis, éliminés en séries. C'est la première fois dans l'histoire des championnats du monde que les Américains manquent une finale. Ils détiennent le record de victoires (11).
Chez les filles, le relais 4x100 m libre a été remporté par l'Australie (3:31.48).
AFP/VNA/CVN