Jazz sous les pins

Le jazz aurait plus de cent ans. Il serait apparu à la fin du XIXe et début du XXe siècle à la Nouvelle-Orléans, dans les pires conditions qui soient (esclavage, racisme, prostitution).

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«Le 57e Jazz à Juan» a eu lieu du 15 au 23 juillet.

Musique aux composantes multiples, largement influencée au début par les rythmes africains et créoles (gospel - blues), puis par le métissage avec la musique européenne importée par les colons irlandais, français, espagnols, allemands.

Sting et son fils Joe Summer.

«Le 57e Jazz à Juan» a eu lieu du 15 au 23 juillet. Même s’il reste le doyen des festivals du jazz européens avec ses 57 ans chargés de souvenirs restés accrochés aux branches des pins de sa célèbre pinède Gould, Le jazz à Juan-Les-Pins continue d’évoluer en présentant des artistes qui témoignent de l’extraordinaire vitalité et diversité de cette musique dans des genres différents, comme la prestation d’Anoushka Shankar qui, avec sa sitar et ses trois musiciens, ont reçu une ovation après un récital de musique hindouiste.

Anoushka Shankar.

Preuve s’il en est, que le jazz n’est pas sectaire, et qu’il n’y a pas plus d’eau dans le gaz entre lui et la java (comme le chantait Claude Nougaro) qu’avec le dilruba.

Archie Shepp.


Nacy Gray.


Texte et photos : Daniel AMBROGI/CVN

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