Dans les salons de la Chambre de commerce et d'Industrie de Paris, les actrices américaines Goldie Hawn, sa fille Kate Hudson, Michelle Rodriguez, la chanteuse britannique Ellie Goulding avaient pris place au premier rang du défilé Atelier Versace.
Asymétriques, des robes longues en soie noires, rouges, blanches, bleu électrique épousent le corps de près, se fendent, se découpent en volutes, comme peintes sur la peau. Fidèles à l'esthétique exubérante de la griffe italienne, des modèles brodés de perles scintillent, des dentelles se font toiles d'araignées, les robes sirène et à traîne se succèdent.
Eva Herzigova et Amber Valletta, mannequins stars des années 1990, ont clôturé sous les applaudissements du public ce show qui donnait le coup d'envoi des défilés haute couture. Ce rendez-vous parisien de prestige, auquel participent 24 maisons jusqu'à jeudi, a pris la relève des défilés de mode masculine, qui se sont achevés dimanche soir avec Saint Laurent.
À la différence des Semaines du prêt-à-porter qui se tiennent aussi à New York, Londres et Milan, Paris est la seule capitale de la mode à accueillir les présentations de haute couture, deux fois par an, en janvier et juillet.
Cette spécificité parisienne bénéficie d'une appellation juridiquement protégée, attribuée par une commission du ministère de l'Industrie en fonction de critères précis, récompensant notamment un travail à la main et sur-mesure réalisé dans les ateliers du couturier.
D'autres maisons présentent leur défilé dans ce calendrier de la haute couture en tant que "membres correspondants" ou "membres invités", comme Atelier Versace, Valentino, Viktor&Rolf, ou encore Yiqing Yin et Schiaparelli.
Les mannequins Amber Valetta (droite) et Eva Herzigova présentent des créations de la styliste Donatella Versace, le 25 janvier à Paris. Photo : AFP/VNA/CVN |
Asymétriques, des robes longues en soie noires, rouges, blanches, bleu électrique épousent le corps de près, se fendent, se découpent en volutes, comme peintes sur la peau. Fidèles à l'esthétique exubérante de la griffe italienne, des modèles brodés de perles scintillent, des dentelles se font toiles d'araignées, les robes sirène et à traîne se succèdent.
Eva Herzigova et Amber Valletta, mannequins stars des années 1990, ont clôturé sous les applaudissements du public ce show qui donnait le coup d'envoi des défilés haute couture. Ce rendez-vous parisien de prestige, auquel participent 24 maisons jusqu'à jeudi, a pris la relève des défilés de mode masculine, qui se sont achevés dimanche soir avec Saint Laurent.
À la différence des Semaines du prêt-à-porter qui se tiennent aussi à New York, Londres et Milan, Paris est la seule capitale de la mode à accueillir les présentations de haute couture, deux fois par an, en janvier et juillet.
Cette spécificité parisienne bénéficie d'une appellation juridiquement protégée, attribuée par une commission du ministère de l'Industrie en fonction de critères précis, récompensant notamment un travail à la main et sur-mesure réalisé dans les ateliers du couturier.
D'autres maisons présentent leur défilé dans ce calendrier de la haute couture en tant que "membres correspondants" ou "membres invités", comme Atelier Versace, Valentino, Viktor&Rolf, ou encore Yiqing Yin et Schiaparelli.
AFP/VNA/CVN