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Mick Schumacher, sacré champion d'Europe de Formule 3, le 14 octobre à Hoffenheim. |
"Grâce à son nom d'abord, mais aussi parce qu'il fait du très bon travail", a poursuivi le Britannique de Mercedes, qui peut conquérir ce week-end au Grand Prix des États-Unis un cinquième titre mondial. "Si j'ai un enfant qui a envie de piloter, je suis sûr qu'il pourra arriver en F1 grâce à son patronyme même s'il n'a pas le niveau", a-t-il estimé. "Mais il (Mick) travaille bien et c'est un bon garçon. Il a passé quelques week-ends avec l'équipe, l'an dernier je crois, et il a été très attentif", a ajouté l'Anglais. "Il a du talent, comme son père, donc je ne crois pas que son nom soit un fardeau. Et ça serait génial pour le sport", pense-t-il.
L'Espagnol Fernando Alonso, double champion du monde de F1, partage ce point de vue: "à voir ses résultats, il est talentueux et ça serait bien pour le sport de revoir le nom de Schumacher en F1". "Voyons ce que le futur lui apportera, il ne faut pas lui mettre plus de pression que ce qu'il doit déjà avoir", a exhorté le pilote McLaren. Son premier sacre international va donner au jeune Schumacher, né le 22 mars 1999, des points précieux pour obtenir la "Super Licence", sésame indispensable pour piloter en F1. Contractuellement, le jeune homme n'est pour l'heure lié à aucune écurie dans la catégorie reine. Il devrait courir en Formule 2 l'an prochain.
AFP/VNA/CVN