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Le Britannique Lewis Hamilton (centre), auteur de la pole position au GP de France, devant le Finlandais Valtteri Bottas (gauche) et l'Allemand Sebastian Vettel, le 23 juin 2018 au Castellet. |
Il s'agit de la troisième pole en huit courses cette saison pour le pilote Mercedes et la première en trois GP. Une anomalie pour le recordman de l'exercice, qui confiait jeudi apprécier tout particulièrement "l'atmosphère de rentrée des classes" qui accompagne les premiers tours sur un nouveau circuit.
"Devant, c'est là où je veux être, alors c'est génial d'être de retour en pole", a souligné le pilote de 33 ans. "La piste me plaît de plus en plus", a-t-il ajouté.
Signe que la nouvelle version de son moteur, introduite ce week-end après un long suspense, fait des merveilles - comme souvent depuis le début de l'ère hybride en 2014 -, Hamilton a relégué à 371/1000 la Ferrari de l'Allemand Sebastian Vettel, qui le devance d'un point au classement des pilotes.
"Ca n'est pas la raison principale pour laquelle nous sommes à cette place", a toutefois balayé le quadruple champion du monde, évoquant un gain de temps marginal.
Au départ du premier GP de France depuis 2008 dimanche à 16h10, il partagera la première ligne avec son coéquipier finlandais Valtteri Bottas, qui vante lui les mérites de son nouveau propulseur.
Le Néerlandais Max Verstappen (Red Bull) talonnera Vettel en deuxième ligne, devant son équipier australien Daniel Ricciardo, le Finlandais Kimi Räikkönen (Ferrari) et l'Espagnol Carlos Sainz Jr (Renault).
Sensation du jour, le "rookie" monégasque Charles Leclerc, que la rumeur envoie chez Ferrari dès l'an prochain dans le baquet de Räikkönen, s'est pour la première fois placé dans le top 10 des qualifications (8e) pour son huitième GP, à 20 ans.
C'est aussi la première fois depuis l'Italie en 2015, avec le Suédois Marcus Ericsson, que son équipe Sauber atteint la troisième et dernière partie des qualifications.
AFP/VNA/CVN