>>Yémen : enlèvement d'une jeune Française à Sanaa
Le père de la Française Isabelle Prime, enlevée mardi 24 février au Yémen, appelle ses ravisseurs "à faire preuve d'humanité" et à la libérer, ainsi que la jeune femme yéménite enlevée en même temps qu'elle, "dans les meilleurs délais". "Nous abordons cette épreuve avec confiance et nous nous tenons aux côtés des autorités françaises avec lesquelles nous sommes en contact permanent et dont nous savons la détermination pour permettre à notre fille de recouvrer sa liberté", ajoute Jean-Noël Prime dans un communiqué transmis jeudi 26 février. "Isabelle aimait le Yémen et souhaitait poursuivre son engagement même dans des conditions difficiles", souligne M. Prime qui a appris mardi 24 février en fin de matinée l'enlèvement de sa fille et de la jeune femme yéménite qui l'accompagnait "alors qu'elles travaillaient à Sanaa sur un projet à caractère social au bénéfice du peuple yéménite". "Nous remercions les médias qui ont relayé en France et dans le monde l'émotion suscitée par cet enlèvement", conclut M. Prime dans son communiqué. "Depuis deux jours c'est un cauchemar que je vis", a-t-il ajouté, joint au téléphone avant de souligner, à propos des nombreuses sollicitations médiatiques dont il a fait l'objet : "Tout le monde a été vraiment très très respectueux, ça m'a fait chaud au cœur".
Le père de la Française Isabelle Prime, enlevée mardi 24 février au Yémen, appelle ses ravisseurs "à faire preuve d'humanité" et à la libérer, ainsi que la jeune femme yéménite enlevée en même temps qu'elle, "dans les meilleurs délais". "Nous abordons cette épreuve avec confiance et nous nous tenons aux côtés des autorités françaises avec lesquelles nous sommes en contact permanent et dont nous savons la détermination pour permettre à notre fille de recouvrer sa liberté", ajoute Jean-Noël Prime dans un communiqué transmis jeudi 26 février. "Isabelle aimait le Yémen et souhaitait poursuivre son engagement même dans des conditions difficiles", souligne M. Prime qui a appris mardi 24 février en fin de matinée l'enlèvement de sa fille et de la jeune femme yéménite qui l'accompagnait "alors qu'elles travaillaient à Sanaa sur un projet à caractère social au bénéfice du peuple yéménite". "Nous remercions les médias qui ont relayé en France et dans le monde l'émotion suscitée par cet enlèvement", conclut M. Prime dans son communiqué. "Depuis deux jours c'est un cauchemar que je vis", a-t-il ajouté, joint au téléphone avant de souligner, à propos des nombreuses sollicitations médiatiques dont il a fait l'objet : "Tout le monde a été vraiment très très respectueux, ça m'a fait chaud au cœur".
AFP/VNA/CVN