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Les forces de sécurité ont tiré mardi 13 juillet des gaz lacrymogènes contre des manifestants en colère protestant devant la résidence à Beyrouth d'un ministre accusé de bloquer l'enquête sur l'explosion au port de la capitale libanaise survenue il y a environ un an. Un nombre indéterminé de manifestants ont été blessés, la plupart par inhalation de gaz lacrymogènes, selon les médias locaux. Les forces de sécurité ont fait état d'une vingtaine de blessés dans leurs rangs.
Les proches des victimes de l'explosion du 4 août 2020 au port de Beyrouth, qui a tué plus de 200 personnes, ont commencé à manifester dans l'après-midi avant d'être rejoints par des dizaines d'autres manifestants en soirée.
AFP/VNA/CVN