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Vaccination contre le COVID-19 à Florida, aux États-Unis. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
Alors que de plus en plus d'États américains ont annoncé un assouplissement significatif des restrictions imposées en cas de pandémie, les gens doivent être conscients du fait que "vivre avec le virus" signifie quelque chose de bien différent pour ceux qui luttent contre les symptômes d'un COVID-19 longue, indique un article publié mardi 21 juin sur le site du groupe de réflexion.
"Le COVID-19 longue est associée à des symptômes chroniques tels que la fatigue, les problèmes cognitifs et les difficultés respiratoires qui peuvent persister pendant des mois après la fin de l'infection initiale par le nouveau coronavirus", précise l'article.
L'expérience de complications à plus long terme avec le COVID-19 affecte non seulement les personnes présentant des cas graves, mais aussi celles qui ont des symptômes relativement légers, ainsi que les Américains qui sont généralement en bonne santé, selon la même source.
Comme pour tous les autres résultats de santé associés à la pandémie, il y a "d'importantes inégalités raciales associées au COVID-19 longue, car les vastes inégalités dans les conditions sous-jacentes rendent la gravité des cas de longue durée plus prononcée pour les minorités raciales et ethniques", affirme l'article.
Il est clair que les Amérindiens, les Afro-américains et les Hispaniques ont tous connu des taux plus élevés d'infection par le nouveau coronavirus, d'hospitalisation et de décès tout au long de la pandémie, a conclu l'article, appelant à renforcer la protection des communautés vulnérables.