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| Lors d'une usine de production d'acier. |
La production d’acier brut pourrait atteindre 18 millions de tonnes et celle d’acier laminé à chaud, 17,1 millions de tonnes.
La filière nationale de l’acier devrait également importer des matières premières pour la production de près de 17 millions de tonnes de minerais de fer, 5 millions de tonnes de ferrailles et 5 millions de tonnes d’acier laminé à chaud.
Cette croissance devrait être un peu inférieure au taux de croissance enregistré en 2019. Expliquant ce problème, l’Association nationale de l’acier et du fer (VSA) a déclaré qu'en 2019, il y a eu des signes de ralentissement du marché mondial de l'acier et que la consommation de l'industrie ne s'améliorera pas au cours du premier trimestre de cette année.
À l'échelle mondiale, la production pourrait dépasser la demande, entraînant une croissance des exportations et, en fin de compte, une baisse des bénéfices.
De nombreux projets d'acier proposés au sein de l’ASEAN entraîneront une grave offre excédentaire et il faudra environ 20 ans pour que la consommation d'acier de l'ASEAN retrouve cette capacité.
La filière nationale de l’acier continuera de faire face à des défis en raison de l'augmentation de l'offre intérieure, des importation de l'étranger, du resserrement du crédit sur le marché immobilier national, des retards dans les travaux de construction.