Le chef du CSFA Hussein Tantawi et la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton, le 15 juillet au Caire. Photo :AFP /VNA/CVN |
Les récents événements en Égypte et dans la région ainsi que l'approfondissement des relations bilatérales ont été abordés dans cette réunion. Mme Clinton a affirmé que les États-Unis attachaient une grande importance à leurs relations avec l'Égypte, qu'ils considèrent comme leur allié stratégique dans la région. Certains membres du CSFA et l'ambassadrice des États-Unis au Caire, Mme Anne Patterson, ont assisté à la réunion.
Pendant la cérémonie d'inauguration du consulat de la ville côtière nordique d'Alexandrie, Mme Clinton a nié tout support à une alliance politique au détriment des autres, affirmant qu'elle collaborait simplement avec les dirigeants élus par le peuple. Elle a affimé son appui à la démocratie réelle, en ajoutant que "la démocratie n'existe pas dans la constitution mais dans la cœur et l'esprit du peuple."
Le 14 juillet dans l'après-midi, Mme Clinton s'est entretenue avec le président égyptien Mohamed Morsi. Leur rencontre visait à consolider les liens bilatéraux. Ils auraient aussi discuté du processus de transition de l'Égypte et de la façon de renforcer les relations bilatérales, en plus des problèmes régionaux comme la crise syrienne et le processus de paix israélo-palestinien.
Mme Clinton est arrivée au Caire le 14 juillet pour une visite de deux jours. Mme Clinton est la responsable américaine de plus haut niveau à avoir effectué une visite en Égypte depuis l'entrée en fonctions du président Morsi le 30 juin.
Xinhua/VNA/CVN