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Le directeur général de Viêt A Phan Quôc Viêt, condamné à 29 ans de prison pour "corruption active" et "violations des règles relatives aux marchés publics, causant de graves conséquences" ; et l’ancien ministre de la Santé, Nguyên Thanh Long, condamné à 18 ans de prison pour "corruption passive" ont déposé une demande de réduction de peine.
Les accusés dans l’affaire de Viêt A lors de leur procès de première instance. |
Photo: VNA/CVN |
Le directeur général adjoint de Viêt A, Vu Dinh Hiêp, condamné à 15 ans de prison pour "corruption active" et "violations des règles relatives aux marchés publics, causant de graves conséquences", a également déposé un recours demandant le réexamen et la réévaluation de la nature de l’affaire et du chef d’accusation à son encontre.
Les accusés restants ont déposé une demande de réduction de peine. On note parmi eux le chef adjoint du Bureau de finance et comptabilité du Centre de contrôle des maladies (CDC) de Binh Duong qui s’est vu infliger 24 mois de prison avec sursis pour "violations des règles relatives aux marchés publics, causant de graves conséquences".
Viêt A a déposé un recours demandant la non-confiscation de la somme d’argent déterminée comme acquise illégalement de la vente des tests de dépistage du COVID-19 aux groupements et aux particuliers qui n’ont pas fait l’objet de poursuites dans le cadre du procès.
Elle a demandé aux groupements ayant acheté ses tests sans passer par les procédures d’appel d’offres à régler leur facture conformément aux contrats qu’ils ont signés, et au tribunal d’appel d’annuler les mesures de blocage et de restriction des comptes bancaires de Viêt A et de ses compagnies affiliées non liées à l’affaire.
VNA/CVN