>>Fusillades: les communautés hispaniques se sentent visées et accusent Trump
>>Condoléances aux États-Unis après deux fusillades meurtrières
Le président Donald Trump rencontre les membres des premiers secours qui sont intervenus lors de la fusillade d’El Paso, dans cette ville du Texas, le 7 août. |
Photo: AFP/VNA/CVN |
Le président américain est arrivé en début d’après-midi à El Paso, à la frontière avec le Mexique, où un jeune homme armé d’un fusil d’assaut a tué samedi 7 août 22 personnes, en majorité hispaniques, dans un hypermarché avant d’être interpellé.
Accompagné de son épouse Melania, Donald Trump s’était arrêté auparavant à Dayton, dans le Nord des États-Unis, où neuf personnes sont tombées sous les balles d’un autre tireur treize heures après le carnage d’El Paso.
Avant de quitter la Maison Blanche, M. Trump a réaffirmé que les récentes tueries n’avaient "rien à voir avec lui" et que ceux qui l’accusaient d’attiser la haine raciale aux États-Unis cherchaient à "tirer un profit politique" de leurs critiques.
Depuis que deux jeunes tireurs ont, à moins de 13 heures d’intervalle, fait 22 victimes dans le Texas puis neuf dans l’Ohio. On attend du dirigeant en lui qu’il apaise les tensions et réconforte une nation traumatisée par ces énièmes tragédies.