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>>Vers l’exportation d’engrais azoté à partir de 2013
Une des questions majeures concerne l’identification des produits à base d’engrais dans le répertoire des produits autorisés de la circulaire N°36 datée de 2010 du ministère de l’Agriculture et du Développement rural.
Selon ce texte, afin de commercialiser les engrais sur le marché domestique, les fabricants vietnamiens sont obligés de faire passer un minimum de vingt essais pratiques et de répondre à de nombreux critères qualitatifs, technologiques, environnementaux..., avant de pouvoir faire inscrire leurs produits sur la liste légale des engrais agréés par ce ministère. Les engrais importés sont également soumis à ce processus avant de pouvoir être commercialisés sur le marché, ce qui préoccupe les entreprises en termes de coût et de temps.
Cette problématique a été entretenue tout au long d'un colloque consacré à la situation de la production et du commerce d’engrais au Vietnam, organisé le 17 juillet à Hô Chi Minh-Ville par le Département de la plantation du ministère de l’Agriculture et du Développement rural.
Une centaine d’entreprises de ce segment se sont renseignées sur la résolution N°202 de 2013 du Premier ministre Nguyên Tân Dung sur la gestion du segment des engrais et la circulaire N°41 du ministère de l’Agriculture et du Développement rural prise pour son application.
Ces deux textes attribuent la compétence de la gestion de certains engrais au ministère de l’Agriculture et du Développement rural et à celui de l’Industrie et du Commerce. En outre, selon les professionnels de ce secteur, les normes de qualité et d’identification légale des produits à base d’engrais relèvent aussi de la Loi sur les normes de qualité des produits et des marchandises élaborée par le ministère des Sciences et des Technologies. Ces régulations, selon les entreprises, compliquent l’obtention des licences de production, d’importation et de commerce des engrais.
Répondant aux questions d’entreprises, le Dr Truong Tac Phong, chef du Service du foncier et des engrais du Département de la plantation, a déclaré que ces textes avaient pour objet de garantir la cohérence et la stabilité de l’égalité entre les entreprises de ce segment, tout en permettant un contrôle strict de la qualité de ces produits. Tous les avis collectés lors de ce colloque seront transmis aux organismes compétents pour régler les difficultés que subissent ces entreprises.
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Une des questions majeures concerne l’identification des produits à base d’engrais dans le répertoire des produits autorisés de la circulaire N°36 datée de 2010 du ministère de l’Agriculture et du Développement rural.
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| Afin de commercialiser les engrais sur le marché domestique, les producteurs vietnamiens doivent faire passer un minimum de vingt essais pratiques. Photo : Kim Ha/VNA/CVN |
Selon ce texte, afin de commercialiser les engrais sur le marché domestique, les fabricants vietnamiens sont obligés de faire passer un minimum de vingt essais pratiques et de répondre à de nombreux critères qualitatifs, technologiques, environnementaux..., avant de pouvoir faire inscrire leurs produits sur la liste légale des engrais agréés par ce ministère. Les engrais importés sont également soumis à ce processus avant de pouvoir être commercialisés sur le marché, ce qui préoccupe les entreprises en termes de coût et de temps.
Cette problématique a été entretenue tout au long d'un colloque consacré à la situation de la production et du commerce d’engrais au Vietnam, organisé le 17 juillet à Hô Chi Minh-Ville par le Département de la plantation du ministère de l’Agriculture et du Développement rural.
Une centaine d’entreprises de ce segment se sont renseignées sur la résolution N°202 de 2013 du Premier ministre Nguyên Tân Dung sur la gestion du segment des engrais et la circulaire N°41 du ministère de l’Agriculture et du Développement rural prise pour son application.
Ces deux textes attribuent la compétence de la gestion de certains engrais au ministère de l’Agriculture et du Développement rural et à celui de l’Industrie et du Commerce. En outre, selon les professionnels de ce secteur, les normes de qualité et d’identification légale des produits à base d’engrais relèvent aussi de la Loi sur les normes de qualité des produits et des marchandises élaborée par le ministère des Sciences et des Technologies. Ces régulations, selon les entreprises, compliquent l’obtention des licences de production, d’importation et de commerce des engrais.
Répondant aux questions d’entreprises, le Dr Truong Tac Phong, chef du Service du foncier et des engrais du Département de la plantation, a déclaré que ces textes avaient pour objet de garantir la cohérence et la stabilité de l’égalité entre les entreprises de ce segment, tout en permettant un contrôle strict de la qualité de ces produits. Tous les avis collectés lors de ce colloque seront transmis aux organismes compétents pour régler les difficultés que subissent ces entreprises.
Truong Giang/CVN