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Le Qatari Nasser Al-Attiyah (Toyota) et son copilote français Mathieu Baumel, lors du prologue du Dakar, près de Djeddah, en Arabie Saoudite, le 2 janvier. |
Photo : AFP/VNA/CVN |
Ce prologue, nouveauté de la 43e édition du rally raid, va permettre de déterminer un ordre de départ dimanche 3 janvier lors de la première étape longue de 622 kilomètres, dont 277 de spéciale, qui reliera les villes de Jeddah, sur les rives de la mer Rouge, à Bisha au sud-est.
Les concurrents les mieux classés lors du prologue de samedi 2 janvier partiront donc logiquement les premiers et bénéficieront d'une piste dégagée et moins poussiéreuse.
En autos, le Sud-Africain Brian Baragwanath (century) et le Saoudien et local de cette courte étape inaugurale Yazeed Al Rajhi (Toyota) complètent le podium provisoire, alors qu'en motos l'Espagnol Joan Barreda (Honda) et le Britannique Sam Sunderland (KTM) se classent deuxième et troisième.
Le Français Adrien Van Beveren (Yamaha) partira 17e.
L'Espagnol Carlos Sainz, tenant du titre en buggy Mini, s'élancera 28e et Sébastien Loeb sur son prototype essence 4x4 (BRX) dixième.
La première spéciale entre Jeddha et Bisha a été entiérement tracée sur des pistes, la difficulté consistant surtout à relier des vallées sans se laisser piéger par les nombreuses intersections qui sont autant de risques de petites erreurs de navigation. "Les passages caillouteux qui se présenteront invitent aussi à la vigilance car une crevaison est vite arrivée", précisent les organisateurs.
Pour son édition 2021, le Dakar s'élance d'Arabie saoudite pour la seconde année consécutive, avec un parcours constitué de douze étapes en forme de boucle au départ et à l'arrivée de Jeddah la deuxième plus grande ville du pays.