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Les équipes de secours le 8 janvier sur le site du crash d'un avion de ligne ukrainien à Téhéran après son décollage. |
Photo : Xinhua/VNA/CVN |
"Nous avons accepté cette invitation et nous prenons des dispositions pour nous rendre sur place. Le BST travaillera avec d'autres groupes et organisations déjà sur place", a indiqué le Bureau canadien de la sécurité des transports dans un communiqué.
Son homologue iranien est chargé de l'enquête, conformément aux règles de l'aviation civile internationale. Une délégation ukrainienne se trouverait par ailleurs déjà sur place.
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a annoncé jeudi 9 janvier que son gouvernement avait des renseignements selon lesquels un missile sol-air iranien a abattu mercredi 8 janvier le Boeing 737 d'Ukraine International Airlines, alors que cette hypothèse avait été auparavant démentie à plusieurs reprises par Téhéran.
Des techniciens iraniens et des experts de Boeing examineront les données des boîtes noires récupérées sur le site de l'accident pour déterminer les causes du drame, a annoncé jeudi 9 janvier à la presse le ministre iranien des Routes et de l'Urbanisme, Mohammad Eslami.