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Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a exhorté le Japon à traiter la question des femmes de réconfort de manière responsable. Le ministre des Affaires étrangères de la République de Corée, Kang Kyung-wha, a indiqué mardi 9 janvier que son pays établirait son propre fonds pour soutenir les victimes de l'esclavage sexuel mis en place par le Japon durant la guerre, réitérant la position de Séoul selon laquelle l'accord de 2015 avec le Japon ne saurait remédier à ce crime contre l'humanité. "Nous avons pris note des informations concernées", a déclaré le porte-parole Lu Kang lors d'un point presse, soulignant que la position de la Chine sur la question des femmes de réconfort restait constante et claire. "Nous espérons que le Japon répondra aux inquiétudes de ses voisins en Asie et de la communauté internationale et traitera de manière appropriée et avec une attitude responsable les questions concernées", a ajouté M. Lu. "Cela a trait non seulement à l'image du Japon, mais aussi à la justice historique", a expliqué le porte-parole.