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L'assistance à l'arbitrage vidéo (VAR) pour le match de phase de groupes du Mondial féminin entre l'Espagne et l'Afrique du Sud, au Havre, le 8 juin. |
Photo: AFP/VNA/CVN |
"C'est une mesure de prudence. Quand vous voyez les différents pays qui utilisent la VAR, ils ne se précipitent pas d'aller dès le début. C'est une technologie que beaucoup de gens n'utilisent totalement pas encore", a déclaré le patron de l'instance organisatrice depuis Le Caire, à la veille du match inaugural entre l'Égypte et le Zimbabwe.
"Au début, c'était prévu pour les demi-finales, mais nous avons exigé qu'il faut aller un peu plus en avant. Le comité exécutif a décidé pour les quarts de finale, pour que ce soit une réussite", a-t-il poursuivi.
Son annonce était attendue depuis la polémique liée à la VAR qui a empoisonné la finale retour de la C1 entre l'Espérance de Tunis et le Wydad Casablanca, et plus largement l'image du football africain, fin mai.
Dans une décision inédite, la CAF avait tranché pour faire rejouer ce match que les Marocains, excédés, avaient quitté en seconde période après une panne de la VAR qui aurait dû leur valider un but refusé pour hors-jeu.