>>Le Cambodge célèbre le 64e anniversaire de son Indépendance
Des policiers devant la Cour suprême du Cambodge. |
Photo : Reuters/VNA/CVN |
Dans une déclaration publiée à la télévision nationale, il a également appelé à la retenue après la dissolution du Parti du sauvetage national du Cambodge (CNRP), le principal parti d’opposition.
La Cour suprême du Cambodge a ordonné jeudi 16 novembre la dissolution du CNRP à la suite d’une plainte du ministère de l’Intérieur. 118 membres dirigeants de la formation se sont également vu interdire d’exercer des activités politiques pendant une période de cinq ans.
Au début du mois de septembre, Kem Sokha, président du PSNC, a été mis en examen pour «trahison et espionnage». Depuis son arrestation, plus de la moitié de membres dirigeants du parti ont quitté le Cambodge.
Le chef du gouvernement cambodgien a indiqué fin octobre repousser la date des élections sénatoriales de la IVe législature au 25 février 2018. Le report des sénatoriales, prévues au 15 janvier 2018, a été décidé sur une proposition du ministre de l’Intérieur Sar Kheng.
Le Sénat du Cambodge a approuvé le 20 octobre dernier quatre amendements sur les lois électorales relatifs à la redistribution des sièges du CNRP en cas de dissolution du parti d’opposition.
Il s’agit de la Loi sur les élections des membres de l’Assemblée nationale, de la Loi sur les élections des membres du Sénat, de la Loi sur les élections des conseils municipaux/provinciaux, de ville/district/arrondissement, et de la Loi sur les élections des conseils communaux/de quartier.
VNA/CVN