>>Têt : 49 marchés aux fleurs à Hanoi
>>Hô Chi Minh-Ville améliore la gestion de la qualité des aliments
Avant le Têt, diverses forces compétentes ont sanctionné de nombreuses infractions en matière de qualité des aliments.
Le 5 février, la police du district de Thông Nhât de la province de Dông Nai (Sud), en coopération avec les forces de gestion du marché, ont découvert un établissement produisant des centaines de kilos de graisse impropre à la consommation dans la commune de Gia Tân, lesquelles étaient destinées à être commercialisées à Hô Chi Minh-Ville.
Le 13 janvier, l’équipe de gestion du marché No2 et la police de l’arrondissement de Hoàn Kiêm à Hanoi ont découvert dans la rue Trân Nhât Duât un lot de plus de 1.900 kilos de radis séchés sans origine déterminée.
Le 6 février, le MADR a organisé une visioconférence avec 63 villes et provinces ainsi que les branches et organisations concernées afin d’envisager les meilleures mesures de sécurité sanitaire des aliments pour le Têt de la Chèvre, ainsi que la mise en œuvre du plan de 2015 en la matière.
Mobilisation dans l’ensemble du pays
«Hô Chi Minh-Ville renforcera le contrôle des marchés de gros, a indiqué un représentant du Service municipal de l’agriculture et du développement rural. Elle coopérera avec les provinces avoisinantes pour mettre en place une chaîne d’approvisionnement de légumes sûrs. La ville appliquera également un nouveau mécanisme de recherche de l’origine des produits».
«En tant que ville important des produits alimentaires de 20 provinces voisines comme de plusieurs pays étrangers, Hanoi mettra en place de nombreux groupes de contrôle et sensibilisera la population à l’hygiène des aliments, a déclaré Ngô Dai Ngoc, directeur adjoint du Service municipal. Elle s’efforcera de détecter et de saisir les produits illégalement importés, et dans un proche avenir, elle créera des marchés de produits agricoles sûrs».
La plupart des provinces sont prêtes, tant sur le plan du personnel que des moyens, à contrôler les marchés de gros et les points de regroupement des produits agricoles.
Le Comité national interbranche de la sécurité sanitaire des aliments s’est fixé pour objectif de réduire de 10% les cas d’intoxications alimentaires durant le Têt et la saison des fêtes du printemps de 2015. Il mettra en place six groupes de contrôle dans les 12 provinces et villes clés que sont Kiên Giang, Cà Mau, Gia Lai, Kon Tum, Quang Ninh, Hai Phong, Hanoi, Lào Cai, Thua Thiên-Huê, Dà Nang, Hô Chí Minh-Ville et Tây Ninh. Ce sont plus de 11.000 groupes d’inspection de tous échelons qui seront formés afin d’assurer des contrôles stricts.
Parallèlement, les organismes et administrations concernés prélèveront des échantillons de toutes sortes d’aliments pour examens en vue d’en publier les résultats dans les meilleurs délais. Il sera nécessaire également de sensibiliser les producteurs comme les commerçants à l’importance de l’hygiène des établissements et des équipements de production ou de transformation. Lors de l’achat, les consommateurs sont invités à regarder la date, la marque des produits, à ne pas acheter ni à utiliser de produits ne portant pas d’indication d’origine. De même, les gens sont encouragés à dénoncer à la police les infractions, les fraudes et les tromperies survenant le cas échéant dans leur localité.
Afin de garantir la sécurité sanitaire des aliments, la surveillance et les initiatives des agriculteurs en termes de nouvelles techniques sont également importantes. Selon le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Cao Duc Phat, il faut les sensibiliser et les initier aux méthodes de chaîne de production et de transformation d’aliments sûrs afin de pouvoir en déterminer l’origine. Le but est de produire des légumes aux normes VietGap qui prescrivent un processus de culture sain. Il faut aussi aller dans les champs et les fermes pour initier les agriculteurs aux méthodes d’utilisation des insecticides.
Les organismes et administrations concernées doivent enfin contrôler strictement les boutiques de légumes et les boucheries afin que le Têt soit sûr pour tout le monde.
>>Hô Chi Minh-Ville améliore la gestion de la qualité des aliments
Contrôle de légumes dans un marché du district de Mê Linh (Hanoi) avant le Têt traditionnel. Photo : Duong Ngoc/VNA/CVN |
Avant le Têt, diverses forces compétentes ont sanctionné de nombreuses infractions en matière de qualité des aliments.
Le 5 février, la police du district de Thông Nhât de la province de Dông Nai (Sud), en coopération avec les forces de gestion du marché, ont découvert un établissement produisant des centaines de kilos de graisse impropre à la consommation dans la commune de Gia Tân, lesquelles étaient destinées à être commercialisées à Hô Chi Minh-Ville.
Le 13 janvier, l’équipe de gestion du marché No2 et la police de l’arrondissement de Hoàn Kiêm à Hanoi ont découvert dans la rue Trân Nhât Duât un lot de plus de 1.900 kilos de radis séchés sans origine déterminée.
Le 6 février, le MADR a organisé une visioconférence avec 63 villes et provinces ainsi que les branches et organisations concernées afin d’envisager les meilleures mesures de sécurité sanitaire des aliments pour le Têt de la Chèvre, ainsi que la mise en œuvre du plan de 2015 en la matière.
Mobilisation dans l’ensemble du pays
«Hô Chi Minh-Ville renforcera le contrôle des marchés de gros, a indiqué un représentant du Service municipal de l’agriculture et du développement rural. Elle coopérera avec les provinces avoisinantes pour mettre en place une chaîne d’approvisionnement de légumes sûrs. La ville appliquera également un nouveau mécanisme de recherche de l’origine des produits».
«En tant que ville important des produits alimentaires de 20 provinces voisines comme de plusieurs pays étrangers, Hanoi mettra en place de nombreux groupes de contrôle et sensibilisera la population à l’hygiène des aliments, a déclaré Ngô Dai Ngoc, directeur adjoint du Service municipal. Elle s’efforcera de détecter et de saisir les produits illégalement importés, et dans un proche avenir, elle créera des marchés de produits agricoles sûrs».
Contrôle sanitaire d"une boucherie dans le marché de Thanh Xuân, à Hanoi. Photo : Huu Oai/VNA/CVN |
La plupart des provinces sont prêtes, tant sur le plan du personnel que des moyens, à contrôler les marchés de gros et les points de regroupement des produits agricoles.
Le Comité national interbranche de la sécurité sanitaire des aliments s’est fixé pour objectif de réduire de 10% les cas d’intoxications alimentaires durant le Têt et la saison des fêtes du printemps de 2015. Il mettra en place six groupes de contrôle dans les 12 provinces et villes clés que sont Kiên Giang, Cà Mau, Gia Lai, Kon Tum, Quang Ninh, Hai Phong, Hanoi, Lào Cai, Thua Thiên-Huê, Dà Nang, Hô Chí Minh-Ville et Tây Ninh. Ce sont plus de 11.000 groupes d’inspection de tous échelons qui seront formés afin d’assurer des contrôles stricts.
Parallèlement, les organismes et administrations concernés prélèveront des échantillons de toutes sortes d’aliments pour examens en vue d’en publier les résultats dans les meilleurs délais. Il sera nécessaire également de sensibiliser les producteurs comme les commerçants à l’importance de l’hygiène des établissements et des équipements de production ou de transformation. Lors de l’achat, les consommateurs sont invités à regarder la date, la marque des produits, à ne pas acheter ni à utiliser de produits ne portant pas d’indication d’origine. De même, les gens sont encouragés à dénoncer à la police les infractions, les fraudes et les tromperies survenant le cas échéant dans leur localité.
Afin de garantir la sécurité sanitaire des aliments, la surveillance et les initiatives des agriculteurs en termes de nouvelles techniques sont également importantes. Selon le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Cao Duc Phat, il faut les sensibiliser et les initier aux méthodes de chaîne de production et de transformation d’aliments sûrs afin de pouvoir en déterminer l’origine. Le but est de produire des légumes aux normes VietGap qui prescrivent un processus de culture sain. Il faut aussi aller dans les champs et les fermes pour initier les agriculteurs aux méthodes d’utilisation des insecticides.
Les organismes et administrations concernées doivent enfin contrôler strictement les boutiques de légumes et les boucheries afin que le Têt soit sûr pour tout le monde.
Duy Minh/CVN