>>Assemblée nationale : une séance d’interpellations "inédite" débute
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Les interpellations de la 10e session de l’Assemblée nationale ont commencé le 16 novembre à Hanoi. |
Photo : Phuong Hoa/VNA/CVN |
Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Cao Duc Phat, a répondu à une question du député Nguyên Van Tuyêt, de la province de Bà Ria-Vung Tàu (Sud), concernant la circulaire 21 sur l’inscription des produits de protection des plantes.
Aux termes de ce document, chaque organisation, particulier ne peut avoir qu’une seule dénomination pour un ingrédient actif et un produit. Le député Nguyên Van Tuyêt a présenté une pétition de 40 entreprises pour réexaminer cette règle.
Le ministre Cao Duc Phat a expliqué que la circulaire avait pour objectif de faciliter la gestion et le travail des agriculteurs, mais a promis d’étudier l’opinion des entreprises dans le sens d’assurer les intérêts des citoyens.
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Le député Tô Van Tam, de la province de Kon Tum (hauts plateaux du Centre), présente sa question lors des interpellations le 16 novembre |
Photo : Phuong Hoa/VNA/CVN |
Le ministre de l’Industrie et du Commerce, Vu Huy Hoàng, a répondu à des questions des députés Tô Van Tam (province de Kon Tum, hauts plateaux du Centre) et Truong Van Vo (province de Dông Nai, Sud), sur la plantation d’arbres forestiers afin de récupérer les forêts perdues pour développer les projets hydroélectriques.
Le ministre a assuré que la superficie forestière perdue serait totalement récupérée en 2016. Il a présenté aux députés trois mesures pour atteindre cet objectif, dont un retrait de la licence aux investisseurs manquant de responsabilité dans ce travail.
S’agissant de l’application des technologies avancées dans la production industrielle, Vu Huy Hoàng a admis que ce travail laissait encore à désirer.
Répondant à la question du député Truong Van Vo sur ce problème, le ministre a indiqué que son ministère continuerait de collaborer étroitement avec le ministère des Sciences et des Technologies et d’autres organismes afin d’encourager les entreprises à accélérer la modernisation des technologies, ainsi qu’à accéder aux nouvelles technologies grâce aux accords de libre-échange.