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Colloque sur la réduction des pertes et du gaspillage alimentaires, le 19 août à Cân Tho (delta du Mékong). |
Les débats ont porté sur les renseignements pour réduire les pertes et le gaspillage d’aliments, le partage d’expériences et les mesures du secteur privé dans ce domaine, l’examen des projets concernés de l’APEC et les solutions d'élever la prise de conscience des habitants pour s’orienter vers un développement durable.
Dans ses déclarations sur la sécurité alimentaire de 2010, 2012, 2014 et 2016, l’APEC a souligné cette question pour s’orienter vers une agriculture durable et assurer la sécurité alimentaire des économies membres de l’APEC. Cette dernière projette de réduire en 2020 d'environ 10% les pertes et le gaspillage alimentaires.
Selon Gong Xifeng, chef du Groupe de coopération technique agricole de l’APEC, il faut conjuguer les forces publiques comme privées afin de trouver des mesures efficaces pour cette question.
Selon l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), chaque année, on perd et gaspille environ 1,3 milliard de tonnes d’aliments, soit 750 milliards de dollars. En outre, le gaspillage alimentaire influence négativement l’environnement et la production agricole.
Les pertes et le gaspillage interviennent lors du processus de production, de récolte, de transport et de conservation, en raison des faibles infrastructures de pays en développement.