>>L'ONU condamne le double attentat au Kenya et en Somalie
>>Garantir les droits des personnes handicapées
>>Le bureau de liaison de l'ONU avec la Ligue arabe sera opérationnel en juin
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres. |
Dans son discours prononcé lors de la réunion commémorant le vingt-cinquième anniversaire de l’entrée en vigueur de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer, Antonio Guterres a déclaré qu’il était essentiel de disposer d’un corpus de droit international bien défini établissant les droits et obligations des États en ce qui concerne les mers et les océans à un moment où ces espaces subissent une pression sans précédent.
Selon lui, des effets négatifs ont frappé les pays côtiers situés sous le niveau de la mer ou à proximité de celui-ci, les petits États insulaires en développement et les communautés côtières; mais le déclin de la qualité de l'océan affectera finalement tout le monde.
Pour contrer ces pressions, António Guterres a fait valoir que les objectifs de développement durable inscrits à l’Agenda 2030 constituaient des orientations et que la Convention des Nations unies sur le droit de la mer était le "cadre juridique" du monde. L'Agenda 2030, en particulier, lie les engagements internationaux sur l'application des institutions juridiques dans le cadre de la Convention et appelle les pays à améliorer la conservation et l'utilisation durable des océans et des ressources que ceux-ci apportent à travers l'application du droit international énoncée dans la Convention.
Le secrétaire général de l’ONU a affirmé que l’application des dispositions de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer qui peut résoudre bon nombre des problèmes auxquels sont confrontés les océans, et il a exhorté les pays qui n’ont pas ratifié ou appliqué la Convention à procéder rapidement et tous les États parties de la Convention à s’attaquer pleinement à sa mise en œuvre avec un engagement et une vigueur renouvelés.
VNA/CVN